Intermed...Du rêve à la tradition
Intermed, un nom plutôt singulier pour un journal étudiant penseraient plusieurs d'entre vous. Ce journal serait-il un interlude? Voir un "intermède" entre les heures de cours si chargées de ces apprentis médecins? Ou tout simplement un moyen de communication (inter-médicale) entre ces disciples d'Hippocrate? Tels seraient vos divers questionnements. Oui, en effet, ce journal médico-social se veut principalement être un moyen de communication, d'apprentissage et de divertissement dans la vie estudiantine de la faculté de médecine de l'Université Notre Dame d'Haiti. (UNDH) Un rêve qui a pris forme depuis le Nostradamus (journal non officiel qu'avait formé la promotion actuelle de pré-internat quelques années plus tôt) et qui se fait à présent tradition pour les promotions à venir. Puisque les pionniers de cette dite promotion de pré-internat nous ont passé le flambeau, cette nouvelle équipe se veut être innovatrice et ne tient pas à restreindre Intermed qu'aux murs de la faculté , mais l'ouvrir au monde... D'où la création de ce blog, afin que n'importe quel étudiant, professionnel du domaine médical, para-médical ou autre , qui seraient intéressé à lire, partager des articles à caractère médico-social puissent le faire. Intermed continuera de prendre son envol vers les plus hauts cimes du savoir, ceci pour vous et grâce à vous chers lecteurs. Milady Auguste, coordonatrice d'Intermed
4 Commentaires
Jehanne
30/9/2014 12:24:04 am
Good job guyss 😉
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Stephane
30/9/2014 01:16:30 am
Really good job, congrats!!!!!
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Joseph Bernard jr
8/11/2014 04:41:05 pm
Je suis impressionné par la qualité de ces deux articles. En effet tout ceci est dû à la faiblesse de nos institutions, qui ne respectent pas la continuité. J'ai eu à vivre la même expérience quand j'étais major de la 3e, et donc membre du comité central, lors du départ du Dr Germain. Mais les circonstances étaient différentes: la FMSS n'avait même pas encore la reconnaissance du MSPP, et le comité central n'était pas aussi bien structuré que maintenant. De mon temps, la situation était plus alarmante que celle que vous vivez actuellement. Et comme d'habitude, les étudiants sont partagés en ceux qui ne pensent qu'à leurs cours, ceux qui se battent pour conserver le décanat sortant, et les je-m'en-foutistes qui deviendront sans aucun doute les anciens de la fac sans une once de sentiment d'appartenance. Je crois que le Comité Central a fait du bon travail. Il a même obtenu une audience avec l'Archevêque, chose impossible de mon temps. C'est normal d'être dépassé par une situation inattendue, mais l'important est de bien réagir. Et il est aussi impossible de tout prévoir et contrôler. Dans une telle crise, il faut être pour la continuité, et faire en sorte qu'il y ait une transition basée sur le compromis (une fusion de l'ancien et du nouveau décanat, si possible !), ou la reconduction du Décanat du Dr Henrys car les enjeux sont très grands (l'inauguration du nouvel hôpital Saint-François de Sales et l'éventuelle résidence hospitalière de l'UNDH, la fac de pharmacie, le troisième cycle, l'accréditation de la faculté, etc.). Il nous faut donc au Décanat des dirigeants d'expérience avec un plan sur le long terme pour assurer tous ces grands projets. Je terminerai en disant que les étudiants aussi font partie du processus de la continuité, principalement en développant un sentiment d'appartenance à l'alma mater, et en s'impliquant dans toutes les affaires de la fac, et non se contenter de tout simplement venir suivre les cours. La formation universitaire, et surtout celle d'un médecin, va au-delà des cours. L'université a pour vocation de former des citoyens, et non de simples techniciens. Il faut donc s'affirmer et condamner l'inacceptable, quitte à perdre quelques jours de cours. C'est justement parce que le rectorat pense que tout ce qui vous intéresse c’est vos cours qu'il peut se permettre d’opérer une telle cassure dans la transition décanale, ou pire de dire que les enseignants sont remplaçables, or dans la pratique ce n'est pas vrai. Il faut donc se battre pour avoir plus de droits de décision à la faculté afin que tous les étudiants, et non seulement ceux du CCE, puissent participer aux destinées de la faculté. Il faut que le vote des étudiants compte dans le choix des décanats à venir, et surtout il faut renforcer le CCE, et l'association des anciens étudiants actuellement inactive pour que plus jamais une telle cassure ne se reproduise. Je suis un peu dépaysé, mais je suis dans tous les détails ce qui se passe. Il faut que cette crise soit une opportunité de changer les rapports dans l'axe rectorat-décanat-étudiants pour que ces trois entités aient un seul objectif: le respect de la continuité, et donc l'évolution favorable de la FMSS-UNDH. Il y va de son avenir et de sa réputation.
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