J’étais là devant celui que j’aimais. Il me regardait avec des yeux étincelants. Il m’aimait et me l'avait prouvé à maintes reprises. J’étais à côté de lui et il promettait de m’aimer pour toujours devant mes amis et ma famille. J’étais la plus heureuse des femmes. Je l’aimais de tout mon cœur et je voulais le crier à la terre entière.
Apres la cérémonie, nous allâmes à la réception, moment tant attendu par certains. J'étais trop stressée en pensant à ce qui allait se passer après la réception donc, je ne pouvais rien avaler. Le « DJ >> entama un slow et mon mari m’invita à danser. Ma tête était sur sa poitrine et mon cœur battait la chamade. -Je t’aime Mme Antoine, me dit Justin -Je t’aime encore plus Mr Antoine Et il m’embrassa. On allait passer la lune de miel à Montana et demain on se rendrait à Paris. Une fois à l’hôtel, il alla boire un verre dans le bar et me laissa du temps pour me préparer. J’avais enlevé ma magnifique robe blanche et m’étais assise sur le lit la tête entre les mains. J’avais peur, je regrettais tellement.... La porte s’ouvrit et Justin entra en souriant. -Mon amour, dit-il, j’attendais ce jour avec impatience. Nous voilà enfin mariés! Il vint s’assoir auprès de moi et commença à me caresser le cou. Il m’embrassa avec fougue, je répondis à son baiser. Il m’enleva mon soutien-gorge et commença à sucer la pointe d’un sein. Et là, la peur commença à m’envahir. Je me mordis la lèvre. Sa main laissa la pointe d’un sein pour se rendre à l’intérieur de mes cuisses et ces souvenirs me revinrent. Non je n’en pouvais plus! Alors je criai de toutes mes forces: -Non, ne me touche pas Alex ! Nonnnnn, laisse- moi ! Des larmes coulèrent sur mes joues, je n’en pouvais plus. Justin me regarda avec surprise, il ne savait que dire. Il ne comprenait rien. -Lise, mais qu’as-tu? Qui est cet Alex? Pourquoi pleures-tu? Tu es stressée parce que c’est ta première fois? Mes pleurs redoublèrent, je n’en pouvais plus. Comment lui dire que je lui avais menti depuis plusieurs années? Comment lui expliquer ce qui s’était passé? -Lise? Réponds- moi. Tu m’effraies, dit-il. -Justin paaarrrdonne- moi, lui dis-je. Je suis désolée. Je ne pourrai pas coucher avec toi. -Mais pourquoi? Une lune de miel est faite pour ça non? -Je ne peux pas ! Criai-je en pleurant. Il me regarda avec incompréhension. Il me faisait de la peine. Jétais en colère contre moi-même. Je regrettais de lui avoir menti durant toutes ces années. Je baissai ma tête et commençai à lui raconter. -Quand j’étais une adolescente, mes parents travaillaient à plein temps et n’avaient pas vraiment de temps à me consacrer. Des fois ,lorsqu’ils s absentaient, c’était un des frères de mon père, Alex, qui venait dormir avec moi. Un soir, mes parents n’étaient pas là et mon oncle était venu dormir à la maison. Il était ivre, il me touchait bizarrement, j'avais peur alors je suis allée me coucher dans la chambre. Il m’a suivie et a fermé la porte derrière lui. Il a voulu m’embrasser, je me suis mise à pleurer. Il m’a giflée et m’a envoyée sur le lit. J’ai essayé de m’enfuir mais il m’en a empêchée. Ce soir-là, mon oncle a abusé de moi. Je n’ai rien dit à mes parents. Ils n’allaient pas me croire. Mon oncle est mort un an après dans un accident de voiture. Je n’étais pas triste au contraire j’étais heureuse, dis-je avec amertume, j’en avais assez de le voir. Je n’ai jamais voulu qu’un garçon m’approche jusqu’à ce que toi, tu rentres dans ma vie. Je pense que je t’ai aimé dès la première seconde. Tu étais si doux, si gentil avec moi. Tu ne m’as jamais forcée à faire quoi que ce soit. Et quand je t’ai dit que je voulais attendre après le mariage, tu as tout de suite pensé que je l’étais et je t’ai laissé le croire. Tout ce que je peux te dire, c’est que je suis désolée. Je levai la tête pour le fixer. Il n’avait rien dit pendant que je lui racontais ce qui m’était arrivé. -Mais Justin dis quelque chose, dis-je en essuyant mes larmes. -Qu’est-ce que tu veux que je te dise? Tu m’as menti depuis toutes ces années! ⁃ Je ne voulais pas, crois -moi, je ne voulais pas. J’avais peur de te perdre. Tu étais le seul avec qui je me sentais en confiance. ⁃ Peur de me perdre? Tu m’as menti pour ça. Je ne t’aime pas parce que tu es vierge bon sang! Mais parce que je pensais que tu étais la fille la plus sincère que j’aie fréquentée, parce que tu n'as jamais eu peur de me dire quoi que ce soit, que ça me plaise ou non. Oui, je le pensais, dit-il . ⁃ Mais c’était difficile pour moi d’en parler. Je sais que j’aurais dû te le dire. Si tu savais comme je regrette de ne pas t’en avoir parlé. Je m’en veux tellement. ⁃ Tu sais comment je me sens? Trahi! La femme en qui j’avais une confiance totale m’a trahi. Celle que j’aimais m’a trahi. Tu viens de me promettre sincérité ;bon sang! ⁃ Je suis désolée , lui dis je. ⁃ Je ne pense pas que je pourrai passer le reste de ma vie avec une femme qui m’a menti sur quelque chose d’aussi important. Non je ne pourrai pas! Je ne pourrai plus jamais te regarder en face. Oh mon Dieu ! dit-il en me regardant avec dégoût. ⁃ Mais..... ⁃ Laisse-moi, ne me touche pas. Jamais je ne pourrais te pardonner de m’avoir menti. tu m’entends :Jamais! dit-il en claquant la porte derrière lui. Ce jour, je ne l’oublierai jamais et personne ne l’oubliera non plus. Le jour où une mariée s’est suicidée............... Stranovia A.P Desronvil
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Ce matin je me suis réveillée avec une envie de rester sous mes draps plus longtemps que d’habitude, d’écouter de la musique, de vous écrire. Voilà donc comment je commence ma journée, sous un air de Sabrina Claudio, au calme, au chaud. Peu importe ce que l’après-midi me réserve, je prends ce moment pour moi. Pour nous. Afin de partager avec vous un petit bout de mes pensées. Cette fois-ci sur le style de vie que nous menons. Tout va si vite de nos jours ; le dicton « Le temps perdu ne se rattrape jamais » tourne en boucle dans nos têtes. Nous vivons en mode automatique plus de fois qu’il n’en faut. Et si nous passions à coté de la vraie vie ? Et si on se réveille dans une vingtaine d’années en réalisant que ce à quoi on accordait toute notre attention n’avait pas la moindre importance ? Comment éviter le chemin des regrets ?
De nos jours, si on n’agit pas comme tout le monde, si on ne suit pas la voie que la majorité approuve, on est mis en quarantaine. On devient une anomalie, une mèche rebelle à cacher, une branche déviante à redresser. Pourquoi devrait-on tous suivre le même chemin ? Pourquoi la voix de la société aurait-elle une influence sur chacun de nos faits et gestes ? Ne pas vivre pour les autres. Ne pas se laisser entraîner comme dans un courant. Combien de fois est-ce qu’on entend ces paroles et combien de fois on les applique vraiment ? Ca fait longtemps que j’ai renoncé à faire plaisir à tout le monde. Où en êtes-vous ? Effectuez-vous quotidiennement une série d’actions en boucle ou marchez-vous dans une direction bien déterminée ? Avez-vous une vision ? Je sais par exemple que je désire travailler pour mon pays en dépit de toutes les difficultés. Mais je rêve aussi de tout laisser de côté pour découvrir de nouveaux horizons. Ce sont deux voies qui semblent s’opposer, pourtant il existe bel et bien un moyen de les réunir. Il suffit de trouver l’équilibre. Un temps pour chaque chose. D’abord se connaître et se comprendre soi-même, puis faire en sorte qu’il en soit de même pour les autres. Vous êtes libre de choisir un chemin différent, de faire ce dont vous rêvez, d’aimer les personnes que vous avez choisies, d’être simplement vous-même. Mais pour cela, il faut se libérer de l’emprise des autres. Comment faire en sorte de toujours agir en fonction de soi-même et non de notre entourage ? Posez-vous la question à chaque fois : est-ce que ça me rend heureux ? Attention, à force de faire ce que les autres attendent de nous, on a tendance à se tromper. Est-ce que je fais ça parce que je veux éviter les reproches, les mauvais regards, juste pour suivre ce qu’il « faut faire » ; ou est-ce que je le fais parce que je sais que ça va me rendre si joyeux que je perdrai la notion du temps ? Le sourire de cette personne me redonne-t-il l’envie de savourer l’instant présent ? Cette activité que j’apprécie tant me remplit-elle d’une envie de vivre comme je l’entends ? Vous savez au fond de vous ce qui vous plaît réellement. Retrouvez-les, incluez-les dans votre quotidien et appréciez-les. Comme disent les Américains « at the end of the day », en dépit de la persistance de l’opinion publique, personne, absolument personne ne sera en mesure de faire votre bonheur à votre place. Vous pouvez choisir de faire plaisir aux autres, ou décider de prioriser l’équilibre en vous. En ce qui a trait à ce dernier, je pense avoir mis la main sur quelque chose d’intéressant. J’ai découvert récemment un style de vie qui provient d’un des pays les plus heureux du monde : Hygge. Hygge, qui se prononce « Hue-guh », est un mot Danois qui n’a pas de signification précise. Il désignerait plutôt un sentiment de confort, une façon de vivre. Ce serait l’art d’apprécier les petits plaisirs de la vie, de faire en sorte d’être conscient du moment présent, de prendre le temps d’aménager un environnement agréable pour soi-même. Bref, entourez-vous de ce qui vous détend. Wave after wave. Prenez la vie comme ça. Je tiens à remercier l’une de mes amies en particulier, elle cherche autant que moi l’authenticité. Sans elle je n’aurais pas eu le courage de me lancer dans l’écriture. A elle, et à tous ceux et celles qui me lisent en ce moment : Continue de rayonner, tu es né pour ca ! PS : Chanel Horowitz signe de son vrai nom à partir d’aujourd’hui. Sabrina Neptune J'avais des sentiments pour toi et tu en as profité, non? Mais comment puis-je t’en vouloir, alors que j'étais tout aussi coupable ? Je me suis assise là, mes mains caressant ton dos, gémissant, mais du coin de mon œil, je pouvais voir ton téléphone s'allumer avec des messages d'elle. "Kote w ye b?", "Tu me manques?", "J’ai mis le bodyshort de Pink que tu m’avais acheté"
Cela m’a brisé le cœur, jusqu’à ce que cela se produise tellement souvent, que je ne m'en souciais plus. Pendant l'heure que nous avons à nous rencontrer, j'étais la petite amie. J'ai les câlins, les baisers sur le front et le sexe torride. J'ai profité pleinement, suis-je aussi coupable ? Suis-je coupable de savoir comment il aime ses baisers, de savoir ce qui le fait gémir et ce qui ne le fait pas ? Et une fois que la montée d'adrénaline se calmait et qu'il me déposait à la maison, je faisais ce que les anglophones appellent « The Walk of Shame » jusqu’à ma chambre où j’allais rapidement me fondre en larmes. Mon créneau horaire était terminé, mon heure était écoulée. La semaine prochaine serait une nouvelle heure, un nouveau "discours". Je l'ai aimé. Je l'aimais tellement que je le laissais faire, mais j'avais aussi soif d'intimité physique. Je me sentais engourdie. J'étais tellement accro à lui que je revenais sans cesse. Je voulais voler des vêtements. Je voulais cette attention. Il aurait pu m'embrasser le cou et murmurer «Je t'aime» à mes oreilles mais j'étais trop occupée à me demander s'il allait lui faire l’amour, plus tard, après son départ. Nous avions de l’alchimie, des étincelles, mais elles ne se sont jamais transformées en flammes. Nous n’avions pas de gens qui nous encourageaient, et comment pourrions-nous en avoir? Je n'étais que la maîtresse. C'était tellement tordu que je voulais être meilleure que sa petite amie. Il m'avait opposée à une fille que je n'avais jamais rencontrée. Je voyais parfois des morceaux de ses bijoux ou de vieux vêtements dans sa voiture, mais je faisais toujours semblant de fermer les yeux et de jouer à la conne, mon surnom. Quand les gens me posaient des questions à leur sujet, je souriais et je disais: «Oui, ils sont si mignons», tout en me rappelant comment hier soir, nos langues s’entremêlaient. Finalement, je ne pouvais plus le supporter. Cela a commencé à affecter ma santé mentale. J'ai commencé à me demander pourquoi il ne pouvait pas simplement être avec moi, pourquoi j'étais en deuxième position. J’ai tout cassé. Il est célibataire maintenant, nous nous sommes vus intimement à maintes reprises depuis, mais jamais régulièrement. Est-ce que cela me tente d’être la première maintenant ? Oui, mais j’ai connu la souffrance qu’aura à connaitre la seconde. « Fanm Deyo a, gen soufrans li tou . » Chrismy Augustin (Mwen panse a Nou, men an Franse) Quand les gens parlent de maladie mentale, ils disent toujours que les personnes en difficulté doivent essayer d’en parler, mais lorsque vous êtes en difficulté, il peut être impossible de parler aux autres, par peur d’être jugé.
On s'attend à ce que lorsqu'une personne se bat avec des idées d'automutilation, de pensées suicidaires, etc., qu’elle s’ouvre automatiquement et le dise à quelqu'un. Mais que se passe-t-il lorsque vous êtes à plusieurs reprises ouvert mais le seul résultat a été une pluie de critiques? Que se passe-t-il lorsque vous essayez de vous approcher encore et encore, mais le seul sentiment généré est la peur? Que se passe-t-il lorsque s’ouvrir n’est pas utile? Il est difficile de parler à quelqu'un de vos difficultés. On ne sait jamais quelle réaction cette dernière va avoir, et quand on a déjà eu une réaction négative, il est encore plus difficile de s’ouvrir. Cela ressemble à un risque qui n’en vaut pas la peine. Lorsque vous contactez quelqu'un et que vous ne recevez pas l'aide que vous espérez, souvenez-vous de ces choses : Tu es aussi important que cette personne. Tu es, donc tu vaux. Personne n'est parfait. Parfois, les gens ne comprennent pas ce que vous vivez. Vous ne rencontrerez pas toujours des réponses parfaites. Les gens peuvent vous faire vous sentir brisé ou comme un fardeau, mais vous ne l'êtes pas. Les gens peuvent vous faire vous sentir coupable de ressentir ce que vous ressentez, mais vous n'êtes qu'un être humain. L’incapacité de quelqu'un d’être là pour vous d’une manière saine ne signifie pas que vous ne valez pas la peine d’être apprécié. Il est normal que quelqu'un vous tienne la main pendant les dures nuits. Il est normal d’avoir besoin de gens autour de soi. Avoir des besoins est normal. Vous vous trouvez dans un combat qui semble ne jamais s’arrêter, pourtant ça ira. La pluie cesse. La neige fond. Les montagnes s'effondrent. Les murs peuvent être brisés. 《Doulè a Prale, Ou pap swiv li.》 Chrismy Augustin (Mwen panse a Nou, men an Franse) Six lettres que nous reconnaissons sans efforts. A-M-I-T-I-E. Un mot que nous pouvons lire si facilement. Nous y pensons régulièrement, nous croyons tout savoir de lui, nous l’ignorons s’il nous fait souffrir, nous l’évitons s’il nous dérange, nous l’affichons lorsque nous en sommes fiers, nous sommes joyeux s’il nous sourit. Cependant, que savons-nous réellement de ces trois syllabes ? Saisissons-nous pleinement ce qu’elles signifient ? Comprenons-nous ce qu’elles impliquent ? Qu’est-ce que moi j’ai appris de mes expériences ? J’ai longtemps été terrorisée à l’idée d’écrire sur ce sujet. Mais aujourd’hui j’ai enfin la force de briser le silence. S’il-vous-plait, vous, qui me lisez en ce moment, prenez le temps d’y réfléchir profondément.
Puisque la technologie a pris tellement d’ampleur au cours des dernières années, j’ose comparer le fait d’avoir un ami à la nécessité pour un téléphone d’être accompagné d’un chargeur. Quand tout va bien, on s’occupe de ses affaires, on se concentre sur tous les projets qu’on s’est mis en tête de réaliser, et l’ami passe au second plan. On est plein d’énergie alors on n’accorde pas trop d’importance à cet accessoire. Puis le temps passe, notre force diminue peu à peu, notre motivation nous quitte, et là on s'en souvient. Notre ami est à nos cotés, il nous écoute, il comprend qu’on a besoin de lui; lui aussi avait besoin de nous. Chacun d’eux est un peu perdu quand même sans l’autre. Il est clair que je ne parle pas des personnes avec qui on sort de temps à autre pour s’amuser, boire, papoter. Non, je parle de ceux qui partagent avec nous une relation qui va au delà des futilités mondaines. Ceux qui n’ont pas peur de nos larmes, ceux qui n’hésiteraient pas à nous aider malgré le fait que ça pourrait les déranger, ceux qui veulent partager nos peines autant que nos joies ou nos colères, ceux qui ne nous jugent pas. Plus important encore : ceux qui croient en nous dans les moments où nous doutons de nous-mêmes. Combien d’amis sincères pouvons-nous compter dans notre entourage ? J’ai longtemps nié l’existence d’une telle relation. Trop de tentatives avaient tourné à la catastrophe. Jusqu'à ce que certaines personnes arrivent à franchir les murs que j’avais construits. Quel bonheur de profiter de la beauté d’un tel sentiment ! Je n’ai plus jamais été seule. Ces gens deviennent pratiquement de la famille. On ne vit plus sans eux. On grandit ensemble et on partage avec enthousiasme tout ce qu’on a. Je croyais que trouver ces amis relevait du miracle, pourtant le véritable défi c’est de les garder près de soi. Je n’ai pas réussi à faire grandir certaines de ces magnifiques relations que j’avais auparavant. Et pour la première fois, ça m’a vraiment marqué de déclarer forfait. Mais comme dit la chanson, si on aime vraiment quelqu’un, il faut apprendre à lâcher prise. Si vous vous retrouvez un jour dans une situation pareille, prenez le temps d’analyser les faits. Quand ça fait plus souffrir de retenir plutôt que de laisser partir, prenez la bonne décision. Mais, par-dessus tout, si une étincelle d’espoir brille encore, si des deux côtés vous pouvez apercevoir ne serait-ce qu’une petite poignée d’amour, de désir de sauver cette relation, si ça compte encore pour vous et que vous êtes persuadé que ça en vaut la peine : battez-vous. Si vous devez pardonner, pardonnez. Si vous devez vous faire pardonner, alors faites-vous pardonner. Si vous devez reconquérir la confiance de l’autre, repartez à la conquête. Si vous devez éclaircir les malentendus, discutez. Nous sommes tous pareils parce que chacun d’entre nous possède des qualités comme des défauts. Nous sommes tous uniques parce que chacun d’entre nous est caractérisé par un mélange de points forts et de points faibles propres à lui et à lui-seul. Je continue d’apprendre chaque jour en ce qui a trait aux autres, au bonheur, au partage. Les erreurs permettent de grandir, les bons comportements solidifient les relations, les échanges forgent l’amitié. Nous sommes nés pour vivre ensemble. Trouvez les personnes qui vous rendent la vie plus agréable et gardez-les auprès de vous. Ce n’est pas toujours évident de maintenir le contact, mais dans la furie du quotidien, essayez de leur consacrer un peu de votre temps. Faites confiance à ceux qui le méritent. Montrez-vous tel que vous êtes. Ouvrez votre cœur à la magie de l’amitié. Chanel Horowitz Si tu devais mourir demain et que tu pensais à toutes les idées que la vie t'a données, toutes les possibilités qu'elle t'a données mais que tu n'as jamais concrétisées, ou que tu as mises de côté. Sur ton lit de mort, elles auraient un visage et elles te diraient que la vie les a emmenées à toi et il n'y avait que toi pour leur donner vie mais que demain elles mourraient avec toi parce que tu les as repoussées à demain et en demain tu les repoussais encore à demain et de demain en demain tu n'as donc rien fait.
Tu n'as fait que des choses inappropriées à leur place. Quand viendrait l'heure, tu deviendrais donc frustré. Frustré de n'être pas prêt, frustré d'être spectateur de ton manque d'engagement. Alors, je te dis:" Bats-toi ne te laisse pas affaiblir, bats-toi". Tu te dis sûrement que demain tu le feras toutefois sache que demain il sera trop tard. Trop tard pour faire quelque chose, trop tard pour les concrétiser. Tu n'as pas su te battre, car tu es faible. Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que tu ne dois pas oser. Tu aimes suivre les gens, tu aimes les regarder et faire les choses à leur manière. Tu ne regardes plus avec tes yeux mais avec leurs yeux parce que tu as peur de la critique et que tu as peur d'échouer. Au contraire, être différent te rend plus fort, travailler à l'encontre des autres t'aide à te forger un caractère. Arrête d'être autrui. Sois acteur de ton engagement. Sois fort et maître de toi-même. Apprécie les qualités des autres et prends ce qu'il y a de bon en eux pour te forger toi-même. Bats-toi, bats-toi seul. Tu as peur de faire des choses pour ne pas attirer les regards. Quand les regards se tournent vers toi, tu as eu peur et es devenu paralysé. Peur du fait que tu ne veux pas que les gens pensent que tu n'es pas à la hauteur. Alors, tu évites de faire des choses qui t'approchent de tes rêves, tu préfères te cacher et voiler tes faiblesses. A cause du regard des autres tu n'oses plus rien faire, à cause du regard des autres tu n'évolues plus. Tu deviendras aveugle. Il adviendra un jour où tu croiseras des gens qui feront ce que tu n'as pas osé faire, ils seront plus beaux, plus forts et plus déterminés. Ils connaîtront le succès et la gloire. La différence entre eux et toi, c'est qu'ils n'ont pas attendu le regard des autres pour s'approcher de leurs rêves. Ils ne se regardent pas avec les yeux des autres mais avec les leurs. Alors "regarde-toi et bats-toi". Comme ça, quand l'heure viendra pour toi de prendre tes choses en main tu le feras. Peut-être qu'aujourd'hui tu n'es pas le meilleur mais c'est aujourd'hui que tu prends la décision d'être meilleur que tu l'as été hier. Repositionne-toi, regarde-toi avec sincérité. Le soleil, les arcs-en-ciel ne sont pas les mots, il y aura de lourdes tempêtes etc... C'est à toi de maîtriser ta vie et d'essayer de ne pas céder. Georges Marc Karly-DCEM2 Au cas où vous ne le sauriez pas, le corps féminin est absolument incroyable. Les femmes sont nées directement avec tous les œufs dont elles auront besoin, environ 1 à 2 millions au total. Lorsqu’elles sont le plus fertiles, ces œufs sont à leur apogée. En vieillissant, leurs ovaires se détériorent naturellement dans l'état. Même s'il est possible d'avoir des enfants jusqu'à la fin de la quarantaine et au début de la cinquantaine, il devient de plus en plus difficile et le risque d'anomalies génétiques pouvant entraîner des malformations congénitales augmente.
Une grande partie des experts disent que la fertilité d'une femme atteint son apogée dans la vingtaine. De nos jours, avoir un enfant dans la vingtaine peut signifier que vous perdez carrément votre carrière, vos rêves et vos objectifs financiers, bien que ceci ne soit pas vrai pour tous. Mais si vous choisissez d'attendre jusqu'à 30 ou 40 ans pour avoir un enfant, ceci serait équivalent d’une meilleure situation financière et professionnelle probablement mais aussi une crucifixion d’une partie de votre fertilité. De plus, le centre du bébé rapporte que le risque de fausse couche passe de 10% chez les femmes de 20 ans à 12% au début de la trentaine et de 18% à la fin de la trentaine. Généralement, les experts tentent toujours de mettre en garde les femmes contre cette habitude d’attendre la fin de la trentaine par exemple pour enfin avoir leur premier enfant. Les femmes qui veulent devenir mères au début de la quarantaine ont 34 pour cent de chances de faire une fausse couche et 53 pour cent si elles tentent de devenir mères après 45 ans. Essentiellement, plus vous êtes jeune, plus il est facile de concevoir, car vos œufs et vos ovaires sont plus sains. Toutefois, lorsque vous décidez quand vous voulez avoir des enfants, il est important de noter que, même si le risque de fécondité augmente entre la fin de la vingtaine et la trentaine, il n'y a pas une grande différence entre 10 et 12%. L’occasion d'établir leur carrière, pourrait être une raison possible pour laquelle de plus en plus de femmes décident d'attendre plus longtemps pour avoir des enfants. Une carte indiquant l'âge moyen des femmes devenant mamans montre combien ce sont des voyages différents à travers le monde. L'âge des primipares issues de 141 pays de l'étude varie de 18 à 31.2 ans, les âges les plus élevés étant plus fréquents en Grèce, en Australie et en Corée du Sud. Les mères primipares les plus jeunes étaient plus fréquentes en Angola (Afrique du Sud), au Bangladesh et au Niger. Mais globalement, ces chiffres restent constants entre 29 et 31 ans surtout dans les pays développés ou encore les pays se trouvant à proximité de ceux-là. Un inconvénient possible dans le fait de vouloir enfanter dans la vingtaine pour certaines femmes serait l’obligation évidente de redéfinir certains aspects de leur vie qui peut-être avant apportaient une certaine satisfaction. Diane Ross Glazer, Ph.D., psychothérapeute à Woodland Hills, en Californie, a dit que les femmes qui reportent leur carrière et leur bien-être financier dans le but d'avoir une famille pourraient ressentir du regret face à leur décision dans le futur. Cela peut également amener une femme à mener une lutte constante dans le but d’atteindre un certain équilibre entre sa vie et ses besoins. "Une femme à cet âge est susceptible de se concentrer davantage sur son mariage que sur d'autres parties de sa vie, comme son travail, et l'ajout d'une troisième personne dans le couple peut être difficile", a déclaré Glazer. Mais tous les experts ne sont pas d'accord sur ce point, et certains voient de très grands avantages de style de vie à choisir d'avoir une famille plus tôt. «Vous êtes plus flexible dans votre vingtaine, ce qui est bon pour votre mariage et pour la transition vers la parentalité», a déclaré Susan Heitler, une thérapeute familiale et matrimoniale à Denver, CO. Elle a également dit que les couples plus âgés ont tendance à s’entremêler dans leurs habitudes, ce qui peut rendre difficile la co-parentalité et même bousiller la jeunesse pure de ces enfants. Bien sûr, il n'y aura jamais de couples se ressemblant complètement, et beaucoup de femmes célibataires pourraient aussi choisir d'avoir un enfant. Que vous choisissiez d'avoir un enfant lorsque la biologie est de votre côté, toutefois il faut toujours planifier votre jeu et attendre d'être un peu plus installée et décidée ! AUGUSTIN Chrismy- DCEM2 Bonsoir tout le monde ! Quel plaisir de revenir à mes articles après une absence qui m’a semblée particulièrement longue ! J’espère du fond du cœur que vous profitez de la vie un peu plus chaque jour, que vous savourez les petits plaisirs de chaque instant. Ca m’a pris tellement de temps pour comprendre que le bonheur est aussi simple que ca. Tout un tas d’idées sombres qui s’étaient installées en moi m’empêchaient de saisir l’essentiel. Et si l’une d’entre elles a vraiment été forte c’est bien la culpabilité. De la plus banale à la plus significative, chacune de mes erreurs s’est présentée avec son lot de remords. Que tous ceux qui sont trop coupables pour lancer la première pierre me suivent !
Comme il est facile de raconter comment on a été blessé, mais lorsqu’il s’agit de dire de quelle manière on a blessé, c’est une autre affaire. Et encore faut-il d’abord reconnaître que l’on a fait du mal autour de soi. En ce qui me concerne, j’ai la culpabilité facile ; un mal pour un bien. Prendre conscience de ses fautes représente le premier pas du chemin vers l’amélioration de soi. Mais cette route ne se limite pas qu’à une simple prise de conscience. Elle nous met face aux dommages de nos propres actions, au chagrin mêlé à la déception de la personne brisée. Nous sentons son poids le jour où nous nous regardons dans le miroir sans pouvoir nous reconnaître. Quand est-ce que nous nous sommes transformés en monstre ? Nous cherchons des excuses, nous tentons désespérément de trouver le véritable responsable de l’histoire. Mais ce qu’il faut comprendre, c’est qu’il s’agit bien de nous. Permettez-moi de vous présenter votre démon. Rencontrer le mien a secoué ma vie de fond en comble. Je me rappelle comme si c’était hier du chaos qui régnait dans ma tête. J’étais tombée exactement là où je croyais être la plus forte, l’ironie à son comble. De là, me sont parvenues toute sorte d’échos. Pour certains, personne n’était plus faible que moi, pour d’autres j’orchestrais ce coup depuis longtemps, et j’en passe. J’ai donc fait ce qu’il fallait dans de telles circonstances selon moi : j’ai assumé tout ce que j’étais, tout ce qu’on pouvait penser de moi, tout ce que je paraissais être. Oui, j’étais bien ce monstre dont on parlait. Rien ne pouvait me décevoir plus que le fait de constater que j’étais capable du pire. Pourtant, quelque chose qui dépassait de loin ma culpabilité ne cessait de grandir. : la vérité. Certes, ce petit diable faisait partie de moi, mais il ne représentait certainement pas l’intégralité de ma personnalité. Nous sommes bien plus que ce mal qui existe en nous. Les gens sont prompts à mettre en évidence chacune de nos fautes, mais personne ne s’intéresse au bien qu’on peut apporter à notre entourage, aux brillants résultats académiques de la personne qu’on critique, ou de la dévotion envers les jeunes de ce « si horrible personnage ». Notez bien : ne vous contentez pas de vous voir à travers les yeux de ces gens. Regardez-vous vous-même. Vous avez fait du mal, vous avez compris votre erreur. Que la victime vous en veuille, aussi intensément qu’elle le peut, est de toute évidence le cours normal des choses. Cependant, refusez que cette période n’ait pas de fin. Refusez d’être traité de manière irrespectueuse ou blessante sous prétexte que vous le méritez. Fuyez les éternels ruminants. Ils sont reconnaissables entre mille : si le soleil ne s’est pas levé aujourd’hui à l’heure à laquelle ils l’avaient prévu, ils vous feront sentir que la responsabilité vous revient, de manière très subtile en plus... Nous avons, pour la plupart, tous eu à subir ce genre d’attitudes immatures. Aujourd’hui je sais que le véritable pardon ne s’obtient jamais de la sorte. Il est sain, compatissant, épanouissant et particulièrement rare. Le monde est entièrement constitué d’opposés, et sa beauté provient de l’équilibre entre ces deux camps. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour nous ? Je suis le démon mais aussi l’ange L’épée mais aussi la fleur L’obscurité aussi bien que la lumière PS : Ajoutez un 🌞 et 🌚 une en commentaire si vous êtes de cet avis ! Chanel Horowitz Tout comme NOUS, j’ai cette maligne tendance à me concentrer sur mes défauts. Eh oui, j’en compte des défauts et j’en crée aussi bien. J’ai tellement de choses que je veux accomplir, tellement de choses que je veux et dois améliorer. Cependant, j’ai finalement pris un recul récemment et j’ai pu réaliser quelque chose d’une importance port-au-princienne.
Vous n’avez peut-être pas encore atteint votre image idéale. Vous n’avez peut-être pas encore atteint la plupart des objectifs que vous vous êtes fixés. Mais sans vous en rendre compte, vous y arrivez. Trop souvent, nous ne célébrons pas nos petites victoires. Nous ne nous laissons pas ressentir la fierté d’avoir brisé une vieille habitude, la fierté d’avoir laissé tomber une relation toxique et essayer petit à petit de recoller les « zenglen ». Nous ne réalisons pas la plupart du temps l’immensité de ces moments parce qu’ils semblent si insignifiants lorsque nous les vivons. Alors qu’en fait, tous ces petits moments vous ont amené jusqu'ici. Vous devriez avoir réalisé que vous vous êtes battus très fort pour arriver là où vous êtes. Pendant combien de fois avez-vous eu le cœur brisé ? Comment ça a été les multitudes séances de ballet avec l’insécurité et le doute de soi ? Les relations amoureuses signées bus de transport ? Mal, je présume. Par contre, vous avez travaillé sur la relation que vous entretenez avec vous-même et cela fait toute la différence. Vous devriez commencer à apprécier la personne que vous êtes et les luttes que vous avez christophées . Vous devriez commencer à compter vos bénédictions plus souvent au lieu de vous concentrez uniquement sur vos faiblesses. Vous devriez apprendre à voir une situation pour ce qu'elle est, pas seulement ce que vous pensez qu'elle devrait être. Et je sais, vous avez été lésé maintes fois par certaines circonstances. Les multitudes épreuves que la vie vous a lancées ont opéré un ou des changements chez vous. Mais c’est bien d’être un/une guerrier/guerrière, pas vrai ? Entretemps , vous avez aussi appris la grâce de la persévérance. Maintenant que vous êtes au milieu de la montagne, regardez juste en bas, sous vos pieds, vous étiez y a pas longtemps à cet exact emplacement. La prochaine fois que vous êtes dur avec vous-même, je veux que vous preniez un moment pour apprécier la personne que vous êtes aujourd'hui. Parce que vous n'êtes en aucun cas un accident. Vous, votre force est la réponse que vous avez lancée aux différentes tentatives de lapidations orchestrées par la vie. Combien de fois votre cœur a-t-il été brisé ? Il bat toujours tout comme son détenteur qui se bat toujours, tous les jours, malgré tout. Vous êtes une source d'inspiration pour votre avenir et pour ceux qui vous entourent, si seulement vous pouviez vraiment apprécier à quel point vous avez grandi. Alors, la prochaine fois que votre amie/ami viendrait à vous tout(e) déprimé(e) et perdu(e), aidez-le/la à les bonnes choses que vous voyez en lui. Aidez-la à voir la femme/homme courageux(se) et passionné(e) que vous êtes si fier d’appeler un/une amie. Secouer un peu son système limbique, peut-être que ceci lui permettrait de se rappeler de lui-même. Nous avons tous besoin de réconfort parfois, et vous pouvez l’être pour quelqu’un d’autre. Parce que nous sommes tous très durs avec nous-mêmes dans une vie déjà assez difficile. Alors, prenons tous un moment aujourd'hui et honorons la lutte qui nous a amenés ici. Parce que la vie n'est jamais facile. Nous avons tous nos propres luttes silencieuses et nous les traverserons tous. Je me suis finalement arrêté aujourd’hui afin d’admirer la vue. Il faut dire que "TiJoe Zenny " avait raison « « NIIIICE VIEWWW » indeed ». La route est longue et épineuse en certains points. Mais je suis là, sans aucune attirance pour Usain Bolt, j’y vais un pas à la fois. Je sais que toi aussi. Chrismy AUGUSTIN DCEM2 Si l’amour n’existe que lorsqu’il est partagé, pourquoi est-il si souvent caractérisé comme non réciproque ? Pourquoi je vous aime alors que c’est différent pour vous ? Comment puis-je ressentir autant pour vous tout en sachant que le sentiment n’est pas réciproque ?
Conventionnellement, on dit que l’amour est quelque chose d’éthéré et même magique si l’on ose. C’est comme pour dire que l’amour en général est quelque chose sur laquelle vous trébuchez mystérieusement et tada... L’amour en lui-même est tout sauf mystérieux. Au fait, ce sont les amoureux qui le sont. Bien sûr, les raisons pour lesquelles les gens s’aiment diffèrent d’une personne à l’autre et d’un couple à l’autre, mais l’amour reste et demeure l’amour. A chaque fois que l’amour jaillit entre deux personnes, il en va de même. Bien sûr, l’amour a des profondeurs différentes. Mais l’amour est unique parce que les personnes qui éprouvent l’amour sont uniques. « Anyone can fall in love, but people don’t fall in love with just anyone ». Votre attirance pour quelqu’un ne vient pas de ce que vous faites mais plutôt de la personne que vous êtes. Le fait que l’on ne puisse pas assez souvent définir la raison pour laquelle nous aimons certaines personnes, donne à l’amour un incroyable aspect naturel. Nous savons juste que nous sommes amoureux, de l’ensemble du paquet mais le pourquoi nous échappe. Parfois, vous vous sentez aimé en retour. D’autres fois, ce n’est tout simplement pas le cas. Certaines fois vous vous sentez complètement associé à la personne , pourtant l’absence du timing détruit tout. Parfois, votre partenaire ne réalise pas à quel point vous l’aimez. « Il/Elle m’aimerait plus s’il/elle me connaissait vraiment », dites-vous . Chose qui ne se produira jamais si vous vous comportez comme un bismuth. De même qu’il est impossible de tomber amoureux de quelqu’un qui ne s’ouvre pas à vous. La vulnérabilité, assez souvent, crée l’amour. Il est possible de conduire quelqu’un à tomber amoureux de vous mais vous ne pouvez pas forcer la personne à le faire. Cela demande du temps et de la patience. Ce qui sera tout aussi difficile mais vaut certainement la peine. Etablir la confiance demande du temps et atteindre la confiance de certaines personnes est moins évidente que d’autres. Plus vous avez éprouvé de chagrin, moins vous serez disposé à vous ouvrir à quelqu’un d’autre. Ce n’est pas nécessairement vrai que cette personne ne veut pas tomber amoureux à nouveau. Mais plutôt que le chagrin l’a rendu plus prudente au sujet de l’amour. Si vous êtes tous les deux compatibles et ouverts à cette expérience, la vulnérabilité finira par vous rattraper. Et de là vous tomberez amoureux l’un de l’autre. Si vous attendez et finissez éventuellement à prouver à cette personne que vous n’irez nulle part, cette dernière tombera certainement pour vous finalement. “Sometimes the timing just isn’t right. Sometimes we should focus on loving ourselves first.” C’est barbant, c’est nul, c’est triste, mais parfois nous tombons malheureusement amoureux de gens qui ne sont tout simplement pas capable ou désireux d’aimer à nouveau. Parfois les contusions sont encore en pleine guérison ou encore que l’envie de s’embarquer dans une relation amoureuse est juste inexistante. Lorsque c’est le cas, il n’y a pas grand-chose à faire en dehors de l’attente. Soyez présent pour cette personne lorsqu’elle a besoin de vous, mais ne la poussez pas. Comme je l’ai mentionné plus haut, il est possible que cela change. Mais cela n’arrivera jamais avec l’impatience. Parce que si vous essayez de pousser cette personne à vous aimer, vous la repousserez. Parce qu’avant toute chose, l’amour est un choix. Attendre vous fera du mal, beaucoup de mal, mais certaines fois on souffre pour ceux que l’on aime. « It’s a bittersweet ». Si vous ne réussissez pas, vous pouvez partir en sachant que vous avez fait de votre mieux. Parfois nous tombons amoureux de personnes qui ne nous aimeront jamais (Ya Gunners Ya !). C’est une réalité ténébreuse, mais une réalité malheureusement. Parfois, les étoiles ne s’alignent pas au point où elles ne soient même pas contraires. "SE LAVI". Mais ça va. "Gen pwason nan lanmè a toujou". Vous pouvez être sûr que vous avez tout donné, fait de votre mieux et attendu aussi longtemps que vous le pouviez avant de décider de jeter l’éponge. Maintenant il faut laisser tomber cette personne et avancer dans la vie. Et sur la route, oui vous rencontrerez quelqu’un avec lequel vos étoiles pourront s’aligner. Avoir eu une telle expérience ne fera que vous rendre plus sage. Tout ce qui arrive dans la vie, si ce n’est pas pour un bien, c’est pour un plus grand bien. Chrismy AUGUSTIN DCEM2 |
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AuteurÉcrivez quelque chose à votre sujet. Pas besoin d'être fantaisiste, juste un aperçu. Archives
Mars 2019
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