S’il y a quelque chose que je déteste le plus dans ce monde, c’est de me retrouver au beau milieu d’un groupe de fumeurs et de buveurs. Je ne suis pas une rabat-joie , loin de là. Cependant, je ne supporte pas quand ces deux odeurs prennent possession du lieu fréquenté. Et pourtant, plus les jours passent ce fléau, petit à petit, envahit notre société et devient un problème de santé publique à ne pas négliger.
Le phénomène de l’alcool prendra une certaine ampleur si les jeunes de nos jours ne comprennent pas le concept : boire avec modération. Quand je repense aux motifs qui font que nous en tant qu’ados nous buvons, ce n’est pas étonnant que l’enquête effectuée par la Commission Nationale de Lutte Contre la Drogue (CONALD, 2014) en Haïti, a décelé 57% des jeunes écoliers haïtiens dès l’âge dès 12 ans ont été inities à la consommation d’alcool. Plusieurs raisons peuvent illustrer ce chiffre : D’abord la responsabilité des parents, ensuite la conduite des adolescents. On pourrait bien penser que ce n’est pas la faute des parents si un jeune se met à boire sans modération, car en général ils se contentent de l’interdire à leurs enfants ou du moins ils leur passent une fessée après leur première beuverie. Comme la plupart des sujets tabous en Haïti, il faut croire que l’alcool en fait partie, rares sont les familles qui prennent le temps de faire l’éducation de leurs enfants sans doute ils ne savent pas comment aborder le thème, ou certaines fois elles ne sont pas modèles. Et pourtant interdire, ne mettra pas un frein aux phénomènes. En tant que parents, peu importe la couche sociale de sa provenance, ils se préoccupent tous du bien-être de leurs enfants. Donc, la meilleure approche est d' inculquer à ces derniers que la consommation d’alcool , c’est à prendre avec modération. D’abord, il faut bien les informer sur les risques qu’elle comporte, qu’ils se rendent compte qu’il ne s’agit pas d’une boisson comme les autres, qu’ils savent à quel âge, quelle quantité et quand il faut consommer. Les adolescents sont confrontés à la consommation d’alcool lors des sorties et des fêtes. Ils sont curieux et veulent l’expérimenter. Certains recherchent l’effet de l’ivresse et une partie d’entre eux commence à boire régulièrement de l’alcool. On comprend bien si les jeunes de nos jours en consomment ce sont bien les motifs sociaux qui viennent en premier mais il y a aussi ceux qui boivent pour se sentir mieux. Selon eux, l’alcool rend plus léger et détendu mais ce n’est seulement qu’au début. Pour d’autres, l’alcool c’est cool, pour les ados faire des choses réservées aux adultes c’est cool. Ou du moins il s’en sert pour s’intégrer dans un groupe, dans le pire des cas c’est quand ils organisent des concours de résistance en buvant autant de verre que possible pour savoir qui sera le premier à être en état d’ivresse. Il ne faut pas non plus oublier ceux qui boivent sous l’influence d’un copain ou d’une copine, ou pour surmonter certains de leurs problèmes. Et c’est à ce moment que le self-control n’a plus sa place dans la nature. Les premiers effets de la consommation sont toujours agréables pour ceux qui cherchent à se détendre . Ce premier stade, c’est l’euphorie. Au fur et à mesure que la consommation augmente, on commence à agir ou parler de manière inhabituelle des choses qu’on pourrait même regretter par la suite si l’on devient irrespectueux, voire agressif ensuite de plus en plus confus, c’est le stade de l’état d’ivresse proprement dit. Si l’on continue à consommer les stades suivants seront ceux de l’hébétude ou léthargie, puis du coma. En raison de leur poids corporel inférieur à celui de l’adulte, les effets de l’alcool se font sentir plus rapidement, en raison de l’immaturité du développement de leur foie, l’élimination de l’alcool se fait plus difficilement. Et de ce fait ils ressentiront plus rapidement un état d’ivresse. En conclusion, l’excès en tout nuit et ne reste jamais sans conséquence. Très chers adolescents, buvez avec modération, renseignez-vous et instruisez-vous sur les bienfaits et méfaits de l’alcool, ne l’utilisez pas comme source d’échappatoire a un problème, ne vous laissez pas influencer par peur d’être intégré dans un groupe. Sauvegardez votre identité. Ne buvez pas pour boire. Je vous laisse avec un mot MODERATION. JEAN Medgine DCEMII, (UNDH)
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Aujourd’hui on va parler d’une arme soigneusement dissimulée dans un ours en peluche : l’internet. J’ai décidé de réaliser une petite étude sur le sujet (et oui, votre Chanel se transforme en investigatrice), histoire de voir si je suis la seule à connaitre certains désagréments avec nos soi-disant amis les « réseaux sociaux ». Sachez que les résultats ont été exactement ce à quoi je m’attendais. Attention ! Pour ceux qui croient que je m’apprête à diaboliser toute forme de progrès technologique : détrompez-vou! Cet article porte un regard équilibré sur un monde qui possède, comme les pièces de monnaie, deux faces totalement opposées et indissociables. Et nous parlerons des deux.
Mon intérêt s’est manifesté pour la première fois le jour où je suis tombée sur le compte de cette superbe fille sur Instagram. A mes yeux, on ne pouvait pas avoir une vie plus parfaite que la sienne. Une cascade de cheveux bouclés, un corps de poupée, une peau de miel, une multitude d’articles (vêtements, produits cosmétiques et autres) reçus juste en échange d’un peu de publicité sur sa page, et cerise sur le gâteau : des voyages. Les gens normaux paient pour voyager, elle, elle se fait payer pour voyager. Est-ce qu’elle boit de la chance liquide au petit -déjeuner ? Voilà donc la raison pour laquelle j’ai été choquée de l’entendre parler de la manière dont on se moquait d’elle quelques années auparavant à cause de ses problèmes d’acné, ou encore du fait qu’elle couvrait régulièrement son corps pour cacher ses vergetures. Mais ce récit ne fut pas plus frappant que le suivant. Tout ce qu’elle avait réussi à gagner sur les réseaux sociaux provenait de son association encourageant l’adoption du naturel. Résultat, les gens remettaient en question sa valeur sans ses cheveux. Ces derniers devenaient si influents dans sa vie qu’elle ne sortait pas s’ils n’étaient pas « parfaits ». Encore cette idée de perfection qui transforme des projets prometteurs en domination sournoise. Elle a fini par se débarrasser de cette chevelure pour se libérer de cette emprise et prouver que sa valeur ne se limitait pas à cela. Mais abordons des points plus graves encore. Lorsqu’un espace virtuel devient un outil d’agression alors il y a des questions que l’on doit obligatoirement se poser. Dans les petites recherches que j’ai réalisées, toutes les personnes interrogées possédaient plus de trois comptes sur des plateformes de ce genre. 77% de ces jeunes s’intéressent particulièrement aux réactions de leurs abonnés en ce qui a trait à leur propre publication. Et plus de 85% ont eu à bloquer des utilisateurs en raison d’un comportement irrespectueux. Je ne vais même pas m’attarder sur les horreurs que j’ai vues sur Twitter, où les insultes sont lancées pour que le public s’amuse, ou les anciennes agressions verbales de Ask.fm. Je tiens simplement à souligner qu’au début ces comportements sont toujours banalisés, ce sont des « blagues » et si la personne concernée est blessée c’est par niaiserie. Jusqu'à ce que l’un de ces jeunes se suicide. Et ce n’est que lorsqu’il est trop tard que tout le monde en est offusqué… Le monde ne risque pas de changer. Mais vous, vous pouvez le faire! Changez d’abord votre comportement envers vous-même : bloquez les harceleurs, supprimez les insultes. Acceptez de vous montrer tel que vous êtes, soyez vrais sur vos comptes. Suivez les gens qui font de même. Ma plus grande réussite a été de faire en sorte qu’à chaque fois que j’ouvre Instagram, Twitter ou Snapchat, je ne trouve que des personnes qui ont des messages positifs à faire passer, des sujets intéressants à aborder, leur réalité à partager. Si je pouvais, je remercierais ces filles : Dana Patterson, Nia Pettitt (Nia The Light), Iskra Lawrence, Tabria Majors, de rester honnête et de nous inciter à faire de même. Et enfin, changez votre comportement avec les autres. Quand on n’a rien de gentil à dire, souvent il vaut mieux se taire. Beaucoup de gens utilisent l’arme dissimulée dans l’ours en peluche pour tirer sur les autres. Ne soyez pas comme eux. Jetez l’arme, utilisez la peluche. Prenez donc le temps de revisiter vos comptes, faites votre nettoyage de printemps. Mais ce n’est pas tout, nettoyez votre esprit de la froideur des pensées négatives. Une nouvelle saison arrive, plus chaude, plus riche en parfum et en saveur. Célébrez votre originalité. Chanel Horowitz A toi qui lit ceci : Je sais que certaines fois tu sens que ça ne va pas, que tout autour de toi, il n’y a que des ruines, mais laisse-moi te rassurer un peu : Ici, c’est ta place. Je sais que certaines fois tu es triste, las d’espérer que les choses seraient différentes, à te demander ce qui aurait pu être si tu avais différemment répondu à certains appels dans ta vie. Crois-moi…Je sais ce que ça fait, je suis pratiquement TOI. Je suis plus triste que je ne l'avoue parfois, et je me retrouve à imaginer ce qui aurait pu être différent dans ma vie. Nos esprits errent toujours, jouant différents scénarios dans nos têtes, traversant les «e sim te fè sa konsa pito».
La société veut que nous croyions que certaines choses devraient être accomplies à certains âges, alors nous nous efforçons de le faire. Si notre vie se distance d’un millième de centimètre de ce chemin conventionnel, ceci peut vouloir insinuer que l’on faillit à notre tâche sur le paysage terrestre. Nous commençons à remettre en question toutes les décisions que nous avions prises, qui ont conduit à ce que nous sommes, mais en ne regardant pas toujours les circonstances qui ont été poulinées par ces décisions. Alors, que faire si les choses ne sont pas exactement comme nous le pensions? En fait, on a ce droit de s’inquiéter lorsqu’on est dans la merde. Notre capacité à stresser, à penser et à raisonner nous rend humains, "and that is so fucked up". Il n’y a pas de vie normale, tu seras déçu. Rien n'est standard, encastré dans la pierre ou exposé dans un manuel. La chose la plus importante que tu puisses faire est de t’accepter et de faire confiance à où tu vas. Réfléchir sur le passé, vivre dans le présent, accueillir le futur, c’est comme si tu étais Kate dans la série « This Is Us ». Ton passé, sous-titré « souvenirs et leçons », t’a aidé à former la personne que tu es devenue, et continuera de le faire. Nous ne pouvons pas changer ce qui s'est déjà passé, ni l’améliorer. Ici ce n’est pas « Back To The Future III », mais nous pouvons décider comment nous irons. Si quelque chose ne fonctionnait pas comme nous le voulions, nous savons que c'était probablement pour le mieux. En ce moment, en ce moment, laisse tomber ce besoin sous-jacent d'essayer de satisfaire ces normes de conneries, et ainsi satisfaire les tiennes, en te rappelant qu'il n'existe pas de vie standard, que ton séjour ici est unique. Trouve du réconfort dans le fait de savoir qu'à un moment donné, nous nous sommes tous senti perdus, que nous faisions tout mal, que nous n'avions pas toujours un but. Cesse de t’inquiéter du fait que ton passé ou certaines choses que tu ne peux pas contrôler font que les gens te labélisent de « différent ». Et rappelle-toi de ceci: ton passé ne dicte pas ton avenir, tout comme une main pitoyable ou malheureuse de cartes que tu as reçues ne te définit pas. Tu es tellement plus qu’une variable de la vie, tu es un contribuable à une meilleure vie. Sois donc fier de chaque moment, des barrières et des détours, des percées et des réussites. Embrasse tout cela. Et par-dessus tout, continue à être, à œuvrer, à ne pas douter de la belle âme parfaitement imparfaite que tu es. Tu l’aimes, tu l’as fait souffrir? Maintenant c’est le moment de la satisfaire parce que peut-être que sans elle tu seras vide et sans toi elle sera sans cœur. Pense à toi, Pense à lui/elle, Pense à vous deux. Ce que je dis là c’est pour toi, c’est pour moi; parlons à Nous. Nous avons tous le pouvoir de créer notre avenir, alors accordons-nous une pause, espérons que nous faisons de notre mieux et que nous n'avons pas à prouver quoi que ce soit à personne d'autre qu'à nous-mêmes parce que cette chose péjorativement appeler merdier ou « shithole » qui en fait s'appelle la vie ; Nous y sommes tous. [=∆^∆=] X FAR Chrismy AUGUSTIN 8. Malgré les efforts de « certains chefs d’Etats », tous les pays du monde ont finalement signé l’Accord de Paris sur le Climat et commencent déjà à travailler durement dans le but d’en tirer du positif.
La Syrie et Le Nicaragua ont bouclé le cycle en 2017. Malgré les diverses interventions du président Américain Donald Trump Jr, stipulant que les Etats-Unis d’Amérique allaient se retirer de l’accord, ce retirement prendra plusieurs années – car les règlements disent qu’aucun pays ne peut laisser avant le 4 Novembre 2020 et les prochaines élections présidentielles américaines prendront place le 3 Novembre 2020. Si l’on devrait résumer les différentes actions positives déjà engendrées en vue d’honorer l’accord, plusieurs pays dont la France, la Nouvelle Zélande et la Suède ont renforcé leur règlement national pour une baisse d’utilisation du carbone. La Banque Mondiale a aussi annoncé qu’elle ne comptait plus emprunter ces fonds aux compagnies travaillant dans l’extraction du pétrole. 7. Il y a près de 140 millions d’années, deux étoiles à Neutrons eurent une collision. En 2017, le monde de l’astrophysique a fait de très grandes découvertes en rapport avec les ondes gravitationnelles telles que les différentes collisions de trou… Par contre, une en particulier devrait susciter une appréciation pour nous ,communs terriens, « La collision des deux étoiles à Neutrons ». Découverts en octobre 2017, les restes de cette collision avaient trouvé refuge sur la terre. Et les résultats ont prouvé que tout l’or ou tous les autres métaux précieux avec une masse atomique supérieure à celle du fer proviendrait de la collision. Donc votre montre en or, votre bague de mariage/fiançailles est le fruit du résultat de la collision de deux étoiles 100 millions d’années plus tôt. 6. La Dracunculose (Ver de Guinée) disparaît progressivement de notre radar. En 2017 seulement 26 cas ont été reportés. Cela signifie , qu’il y a une baisse de plus de 3 millions dans 30 ans. La dracunculose, également appelée filariose de Médine, est une maladie parasitaire causée par un nématode. Elle a été pendant plusieurs années, populaires , dans diverses régions d’Afrique. De petits vers rencontrsé dans l’eau non filtrée absorbée par les humains constituent le principal mode de contamination. Puis le ver , adulte femelle, d’environ un mètre, crée une sorte de plaie sur le corps et s’évade. Les patients sont alités pendant plusieurs semaines et présentent souvent des infections secondaires au niveau de la plaie. Grâce à l’effort orchestré (partant de l’ancien président américain Jimmy Carter) par rapport à la Santé Publique depuis plusieurs années tels que : « Encourager les personnes dans les régions à filtrer l’eau propre à la consommation et limiter la présence des personnes infectées autour des eaux » depuis les trente dernières années, disons déjà au revoir à cette maladie. 5. Toujours dans le dossier de chute, la mort liée à l’infection au Paramyxoviridea (Rougeole) a connu une baisse de 84% depuis 2000. Au début de ce millénaire, plus de 500000 personnes connurent une mort tragique dûe au virus de la rougeole. Annoncé par l’Organisation Mondiale de La Santé en novembre 2017, ce chiffre avoisine 80000 cas depuis. Ceci est le fructueux résultat de près de 5 milliards de doses de vaccins distribués mondialement. La Rougeole est une maladie qui peut engendrer certains handicaps, des dommages cérébraux, la surdité et finalement la mort. Cette maladie qui habituellement tuait près de 1.3 millions de personnes par an se trouve petit à petit éradiquée par les programmes de vaccination qui sauvent ce même chiffre chaque année. 4. Seulement 101 cas de Polio ont été reportés mondialement. La Poliomyélite dans le même registre que ces confrères, est une horrible maladie paralysante affectant habituellement les enfants de moins de 5 ans et dans beaucoup de cas, les répercussions étaient soient une vie paralytique ou la mort. Elle a connu sa popularité à travers le monde avant la fin des années 80 car en 1988 un effort orchestré mondialement a amorcé sa chute. Les cas avoisinaient 350000 par année mais les programmes de vaccination ont amené ce chiffre à 101 (10 Décembre 2017). Selon l’OMS, le succès du programme de vaccination stipule qu’il y a plus de 15 millions de personnes circulant sur la terre qui n’auraient pas pu et plus de 1 million de mort infantile a été prévenue. 3. La faim mondiale a été réduite de 27% en 17 ans. OK ! Avant d’en parler, il faut mettre en valeur la complexité existant dans ce chiffre car plusieurs valeurs métriques et facteurs pas nécessairement liés sont pris en compte,- comme la sous-alimentation, la mortalité infantile, le retard de croissance, malnutrition aigüe…- tous ces chiffres sont mis ensemble pour donner le GHI (Global Hunger Index) qui va pratiquement de pair avec les chiffres de la Banque Mondiale sur la sous-alimentation. En 2000 on considérait que 10% de la population étaient sous-alimentées ce qui a évolué vers 10.8% en 2015. Eradiquer la faim dans le monde est pratiquement inconcevable si l’on considère la famine extrême dans certaines régions d’Ethiopie mais la situation est bien meilleure. 2. La ligne aérienne Ethiopian Airlines institue un équipage entièrement féminin. De pilotes à intendants, le Boeing 777 est composé de femmes. Selon le pilote , Capitaine Amsale Gualu , ce vol prône l’égalité et si les femmes reçoivent cette égalité abondamment, elle pourront éventuellement réaliser de grandes choses dans le monde de l’aviation. 1.En Grande Bretagne, 2040 est l’année limite pour le bannissement des voitures à pétrole et diesel. La Grande Bretagne, dans une liste qu’elle partage avec plusieurs autres , notamment la Hollande et la France, a dit que d’ici 2040 toutes les voitures circulant sur l’espace britannique devront être électriques, dans le but de réduire les problèmes voués au climat. La marque Volvo, par exemple projette déjà de ne fabriquer que des voitures électriques à partir de 2019. Chrismy AUGUSTIN Ce matin, en me réveillant après une agréable nuit de sommeil, j’ai aperçu la tige mince et discrète d’une plante qui utilisait ma fenêtre comme point d’appui dans son ascension vers le soleil. Ses délicates fleurs blanches venaient à peine d’éclore. Quel romantisme ! Si aujourd’hui je suis capable de voir la beauté des petites choses autour de moi, vous devez savoir que c’est uniquement grâce à un long travail de reconstruction. Ma vision du monde n’a pas toujours été empreinte de la gaieté des couleurs. J’ai eu des moments où l’obscurité était ma meilleure amie. Je n’ai aucun diplôme en psychologie cognitive et comportementale, mais je suis certaine que les mots qui vont suivre serviront de coup de pouce aux personnes qui cherchent une lueur d’espoir.
Il y a une vérité à laquelle j’ai toujours fait face mais dont le véritable sens ne cessait de m’échapper : personne, absolument personne ne peut me faire autant de mal que moi-même. C’est une leçon que j’ai apprise de la manière forte. D’une part, à la suite de longues soirées passées à ruminer des idioties qui, à l’époque, me semblaient parfaitement sensées ; à remettre en question ma valeur, mon utilité ; à me perdre dans mes torrents de larmes silencieuses et de cris étouffés… « Comment puis-je être aussi stupide ? Tout le monde irait beaucoup mieux si je n’étais pas là ! Ne serai-je jamais assez bien ? » Et tant d’autres phrases que nous ne connaissons que trop bien. Elles nous transpercent le cœur comme de puissantes lames pour la simple raison que dans ces moments, nous les pensons vraiment. D’autre part, la vie s’est chargée de me rappeler cette vérité à travers les confidences de certains proches. Je crois que je n’oublierai jamais la tristesse et surtout le sentiment d’impuissance qui m’ont secouée le jour où une amie a lancé au téléphone, d’une voix étranglée de sanglots, « Qu’est-ce qui ne va pas chez moi ?! ». Que répondre à ça lorsqu’on se pose soi-même la question? Mais cette conversation m’a poussé à analyser plus profondément ces situations. Je pense avoir compris que premièrement, ces pensées négatives sont comme des plantes parasites. Elles sont toutes petites au début, et nous les banalisons parce qu’elles ne nous affectent pas tant que ça. Le problème, c’est qu’en les sous-estimant, nous leur donnons l’opportunité de grandir aisément en s’accrochant à nous, en absorbant toute notre énergie. Jusqu'à ce qu’un beau jour, ce parasite devienne plus fort que nous : ici commence la dépression. Plus rien n’a d’importance, nous oublions complètement la définition du mot bonheur, et nous nous éteignons à petit feu. Levez la main si vous vous êtes déjà senti seul alors que vous étiez entourés d’amis ! Extrêmement douloureux. Heureusement, la suite révèle quelque chose de plus optimiste. Etre soi-même son plus grand bourreau implique que la décision de mettre un terme à cet empoisonnement ne dépend que de nous. Plus facile à dire qu’à faire ? C’est exactement ce que je croyais. Pourtant rien n’est plus simple : couper les branches du parasite, une par une. La tâche requiert du temps mais soulage progressivement. Comment lit-on un livre ? Page par page. Comment gravit-on un escalier ? Marche par marche. De la même manière, éliminez une par une ces pensées dénigrantes. La tête froide, portez un regard juste sur vous-même. Oui, les erreurs, tout le monde en commet et plusieurs fois. Ca ne signifie pas qu’on mérite le pire. Regardez-vous, vos forces mais aussi vos faiblesses constituent cette merveilleuse personne que le monde voit grandir chaque jour. Régulièrement faites quelque chose qui vous plaît, prenez soin de vous. Lorsque le poison refait surface, combattez- le avec de la positivité. Accrochez -vous aux raisons qui vous poussent à continuer de donner le meilleur de vous-même. Et si toutes ces méthodes ne suffisent pas, demandez de l’aide. Vous n’êtes pas seul. Quelqu’un quelque part trouvera les mots, saura vous aider. Mais n’oubliez jamais que vous devez le vouloir, que personne ne peut faire ce travail à votre place. Les choses ne pourront changer qu’au moment où vous déciderez que vous méritez d’être heureux. J’ai passé des journées entières dans la noirceur de ma chambre sans comprendre que j’étais la responsable. J’avais accroché d’épais rideaux aux fenêtres. Un proverbe chinois dit : <<qu’il vaut mieux allumer une bougie que de se plaindre de l’obscurité>>. Ca m’a pris du temps mais j’ai saisi l’essentiel. J’ai écarté les rideaux et j’ai pu voir la tige mince et discrète, ses fleurs blanches qui venaient à peine d’éclore et le soleil est entré. Chanel Horowitz Une communauté n’avance pas s’il n’y a pas d’objectifs transcendants. Trop souvent sommes-nous piégés par cette attitude à comparer les universités privées aux universités publiques en voulant dénigrer ces derniers alors que nous, étudiants privilégiés, n’affichons pas de comportements meilleurs ! Ainsi parlerez-vous de respect? Quelle est votre vision du respect? Est-ce celle là qui se cache derrière tant de barrières d’hypocrisies et de faux semblants ? Ces cas de bully dans les classes qui gâchent l’apprentissage alors que tout le monde a les mêmes droits de réussite ? Cet esprit de compétition instauré dans les préfacs finit par enlever toute forme d’humanité chez les élèves. Finissent- ils donc par tricher de vive voix, martyriser ceux -là les plus honnêtes en s’arrangeant en clan pour se moquer d’eux. Même notre liberté d’expression est bafouée, notre estime blessée (masisi pour les garçons respectueux, lesbiennes pour les filles de bien). Ces masques doivent tomber… A l’aide! Et tant de cas…
Ce phénomène “Krey” qui n’en finit pas. On veut initier tout le monde. Si tu fais la Sainte, on te ridiculise. Où est le respect ? Ne serait-ce pas ce genre de patrons qu’on diplômera plus tard et qui demanderont rançon à leurs laborieuses “esclaves” ? Dans une université privée, tant de mascarades, d’insignes, et de couvercles. On ne grandit pas. Où est la visée du succès? Les plus honnêtes ne sont pas premiers de classe. Cela enrage. Comment peut-on se taire si ces filles faciles se font courtiser par ces jeunes hommes qui ensuite vont le dire à tout le monde après l’acte sexuel. Quelle vulgarité ! Elles continuent à coucher partout en pensant que ça restera secret puis le lendemain matin, elles viendront lire l’évangile. Ma foi! Quelle semaine d’intégration pour les bleus? Parlez-moi de respect si les ainés ne se respectent pas ou ne respectent pas les bleus. Si une mère ne respecte pas ses enfants, la réciprocité sera choquante. On n’en peut plus de ces responsables de classe qui n’arrangent pas les choses de la classe. Ces responsables qui agissent comme nos politiciens. Où sont passés nos responsables d’éthique et de morale, les comités centraux de discipline? Ces étudiants qui s’arrangent en clan qui pratiquent comme des gangsters pour effectuer leur pression psychologique. Ces avances de jeunes hommes irrespectueux qui n’en finissent pas. Université catholique=mœurs chrétiennes? Où sont nos superviseurs? Heure de l’étudiant? Combattons ce phénomène de <<Krey>> en créant des espaces où les étudiants peuvent trouver internet pour qu’ils puissent faire des recherches. Laissons l’espace de recherche être administré par un censeur sérieux. Employons un technicien d’informatique pour assurer des logiciels adéquats ou “up-to-date” .Construisons ce vivre- ensemble par des espaces d’apprentissage commun. Trop de sujets de conversation médiocres qui entraînent à la négativité. Repoussons la médiocrité dans notre enceinte et chantons avec fierté l’hymne de notre école. Redonnons à notre vie sa vraie valeur! Bonne année à tous! Pardonne-toi, toi-même Pardonne-toi pour tous ces jours où tu as failli à la tâche d’être la personne que tu aurais dû être. Pardonne-toi d’avoir infliger autant de déception à ceux qui t’aiment parce que tu as manqué à leur appel alors qu’ils étaient dans le besoin ou parce que tout simplement tu n’as pas suivi le chemin qu’ils auraient voulu ou pris en compte leur conseil. Pardonne-toi d’avoir dû apprendre certaines leçons tout seul, ou encore d’avoir créé ton propre chemin. Pardonne-toi d’avoir choisi de prendre certaines chances sans demander aux autres leur avis. C’est comme ça que le caractère se construit. C’est ainsi que tu deviens TOI-MEME. Pardonne-toi pour tous ces mots qui ne sont pas sortis de ta bouche. Tu avais peur ? Tu t’étais sous-estimé? Pardonne-toi pour ces moments de silence que tu as orchestré alors que tu aurais pu dire quelque chose. Pardonne-toi d’avoir failli maintes fois à la belle tâche de te sauver toi ou certains amis juste parce que tu n’avais pas le courage qu’il fallait pour faire entendre ta voix. C’est de cette manière que tu apprends le pouvoir de la parole. C’est de cette façon que tu apprends que le silence ne sauve pas toujours. Pardonne-toi pour toutes ces fois où tu as manqué un but. Pardonne-toi de ne pas être riche ou marié ou fameux ou encore d’être obèse alors que « être fit » est la mode. Pardonne-toi d’être différent, d’avoir des attirances différentes, d’être homosexuel ou asexuel de rêver de « sexe » assez souvent. Pardonne-toi d’être normal ou atypique. Pardonne-toi d’avoir pensé que les choses étaient faciles, que la vie était facile. Tu n’auras pas toujours ce que tu veux directement au moment voulu. C’est ainsi que tu apprends ce qu’est la patience. C’est de là que tu connaitras finalement l’importance de la foi. C’est de cette manière que tu apprendras l’art d’attendre. Pardonne-toi pour toutes ces fois où tu as oublié ta propre valeur Lorsque tu es resté dans cette relation qui t’a causé tant de peine, lorsque tu as offert ton cœur bien emballé avec des guirlandes…à cette personne afin qu’il le brise une cinquième fois. Te souviens-tu de cette fois où tu t’es laissé guider par d’autres personnes aveuglément ? Te souviens-tu de cette fois où tu te souciais grandement des mensonges que l’on faisait circuler à ton propos ? C’est de cette façon que tu seras TOI, que tu apprendras à T’AIMER. C’est ainsi que tu sauras que tu es important même si personne ne te le dit. Pardonne-toi. Réveille-toi. Recommence. Vis, Aime, Pratique le Respect, Lis, Amuse-toi et Apprends. Autrement Pardonne-moi. Chrismy AUGUSTIN [=∆^∆=] X FAR Combien de fois avez-vous déjà été choqués par l’immensité des dégâts que peuvent engendrer les insécurités chez quelqu’un ? Combien de commentaires absurdes lancés à l’égard de votre corps vous ont frappés de plein fouet ? Combien de jours avez-vous consacré à rêver de pouvoir changer une ou plusieurs parties de vous-même ? Si vos réponses à chacune de ces questions est supérieure à zéro, alors cet article est pour vous.
Que cela vous concerne directement ou que vous ayez été témoin de ce genre de situations, prenez quelques minutes afin de vous joindre à nous pour un petit rappel sur quelque chose dont tout le monde parle mais que peu de gens maîtrisent véritablement : la confiance en soi. Je voudrais commencer par parler de moi-même avant d’en arriver aux autres. Non seulement parce que je ne veux pas traiter ce sujet de manière impersonnelle et abstraite, comme lorsqu’on essaie de décrire un pays qu’on a jamais visité. Le fait pour moi d’être passée par là me permet de comprendre globalement tout ce qu’on peut penser et ressentir dans ces moments. Mais aussi parce que j’aimerais montrer qu’on peut les dépasser. Je me souviens avoir commencé à prendre conscience de mes différences le jour où un garçon m’a demandé, assez fort pour que tout le monde entende bien sûr, de combien de mois j’étais enceinte. J’avais 9 ans. Un bon appétit, c’est ce qui m’avait mis dans cette situation d’après moi. Et plus le temps passait, plus les commentaires, les comparaisons, et les situations embarrassantes renforçaient mes croyances. Je ne ressemblais pas aux filles des magazines, je ne ressemblais pas aux grandes vedettes de cinéma donc je manquais forcément de ce que ces filles possédaient. Et ainsi débute la longue quête de « ce que je dois avoir et/ou devenir pour être belle ». Si vous avez eu des insécurités à un moment de votre vie, vous savez qu’il s’agit là du commencement de la fin. Un cercle vicieux car cette quête est plutôt la recherche de « ce que je n’aurai et ne serai jamais ». On se tue à essayer de ressembler à des modèles, à les idéaliser mais surtout à se dévaloriser du même coup, jusqu'à se détester et même passer à côté de sa vie dans les cas les plus flagrants. J’ai vu des filles refuser de profiter de la plage à cause du regard des autres, s’affamer pour perdre du poids, se tenir voûtées pour dissimuler leur visage militairement occupé par l’acné. J’ai moi-même eu des torrents de larmes après avoir accidentellement fait sauter la fermeture éclair d’un jean qu’on venait tout juste de m’offrir. Oui, je me sentais comme une bombe, et dans le mauvais sens du terme, prête à éclater. Mais le jour où j’ai pris conscience que j’étais la seule à décider de ce à quoi je devais ressembler, que je ne pouvais être qu’une seule personne : <<moi-même>>, a été le jour où j’ai mis fin à ce cercle vicieux. Et tout le monde en est capable. Les mauvaises plaisanteries, les phrases blessantes seront toujours là, mais leurs effets sur vous deviendront nuls. Certaines connaissances ne peuvent pas s’empêcher de commencer leur conversation par ce genre de remarques déplacées sur notre physique, mais l’important c’est qu’à présent, elles n’ont plus d’emprise sur notre façon de nous voir nous-mêmes. Il n’existe pas, ou devrais-je plutôt dire, il ne devrait pas exister de caractéristiques fixes qui détermineraient si oui ou non une personne est belle. Nous sommes si différents les uns des autres, chaque personne est unique et, par conséquent, belle à sa façon. L’essentiel c’est de s’accepter tel qu’on est. Iyanla Vazant rappelle que « La première étape pour apprendre à s’aimer est de se regarder tel qu’on est, et de s’accepter tel qu’on est, aujourd’hui même ». Vous avez certainement dû le remarquer, ces derniers temps de nombreux personnages publics se battent pour que les différences soient célébrées au lieu d’être discriminées, pour que la diversité soit représentée et valorisée dans les médias. Winnie Harlow, Ashley Graham, Stacey McKenzie, Jessamin Stanley, Turia Pitt ne sont que quelques noms que l’on relève parmi ceux qui se sont consacrés à la destruction des limites imposées par la société. N’est-ce pas le bon moment pour nous aussi d’embrasser notre identité et d’encourager les autres à faire de même ? Chanel Horowitz Hier, tu lui as demandé d’être tienne, elle ne te réclamait même pas l’exclusivité, tu la lui as offerte. Il y a bientôt 2 heures, tu lui as demandé « combien avant moi ? ». Quand elle a refusé de répondre à ta question, tu l’as cajolée, caressée. Tu as allumé ce feu sous sa peau que toi seul pouvait éteindre. Tu l’as torturée avec douceur, tu as pris ton temps, tu l’as fait crier ton nom avec pour seul et unique but d’obtenir une réponse d’elle. Quand enfin, le corps alangui et le cerveau en compote, elle t’a répondu franchement, tu t’es raidi, sans un mot, tu t’es levé, a enfilé tes vêtements et est parti.
« Combien avant moi ? »… « QUATRE ! ». Elle a lâché ce chiffre parce que tu lui refusais le nirvana, tu l’amenais tout près, juste assez pour qu’elle entrevoie sa libération, pour ensuite la lui refuser sadiquement. Pour faire cesser tes sévices, elle t’a confié ce chiffre que tu réclamais avec tant d’insistance. Et, au final, elle n’a fait qu’entrevoir le nirvana, tu ne l’as même pas amené jusqu’au bout, tu t’es senti…quoi ? Vexé ? Humilié ? Dégoûté ? Parce qu’il y en a eu 4 avant toi ? Tu es partie, la laissant frustrée et … brisée ? Rabaissée ? Humiliée ? Ces quatre-là lui ont permis d’acquérir cette expérience qui te révulse aujourd’hui, cette expérience qui, hier encore, te faisait te tordre de plaisir entre ses draps. Cette expérience qui te mettait au garde-à-vous dès que ton regard se posait sur elle. Cette expérience qui faisait naître des frissons sur ta peau dès qu’elle te souriait. Ses draps sont encore trempés de ta sueur et de ton essence, preuve qu’il y encore quelques heures, tu étais dans son lit, occupé à te laisser aimer. Elle ne te réclamait rien et t’offrait son tout. Tu t’es épris d’elle et lui as offert tout ce qu’elle ne t’a pas demandé. Pendant 24h vous avez formé un couple OFFICIEL. Tu l’as présentée à tes parents comme « mennaj ». Quelle conversation as-tu eu avec tes potes aujourd’hui et qui t’a poussé à lui demander « combien » avec tant d’insistance ? Tu voulais être le premier ? Tu savais bien que ça n’était pas le cas. Alors quoi ? Y avait-il un chiffre magique comme réponse ?
Et toi, « combien avant elle ? ». Tu as dépassé la première dizaine et entamera bientôt la deuxième. Tu as 22 ans. Ta vie sexuelle active a commencé à ta seizième année. Donc ? -16-17 ? À raison de 2.83 filles par an ? Non, bien-sûr. Tu n’es devenu un vrai coureur de jupons qu’une fois ton entrée à la fac. Les petites culottes se sont mises à pleuvoir, les préservatifs aussi. Ta moyenne par an allait en croissant jusqu’à ce que tu la rencontres. Tu en étais à 5 il y a 6 mois de ça. Parce que tu es un homme. Parce que ta libido est incontrôlable. Parce que les filles sont irrésistibles. Parce qu’en tant qu’homme haïtien, tu te dois d’être un « kòk lakou ». Ce soir, pour panser ta fierté blessée, tu en caresseras une autre. Ton plan ? Revenir dans ses bras demain en t’excusant de ton comportement, à grands coups de « je t’aime », « tu es la femme de ma vie », « je suis un salaud », « je ne te mérite pas ». Non, tu ne la mérites pas. Et il le sait ce copain qui t’a parlé du fameux « combien ». Celui qui, hier encore te disait que le nombre de partenaire d’une femme est représentatif de son avenir. Celui qui t’a dit qu’à partir de 3 partenaires, la femme en question « se yon pèlen ». Celui qui, en ce moment même sèche les pleurs de cette femme qui était tienne et qu’il compte bien te dérober. Oui, pour le moment, il est dans la fameuse friendzone…mais plus pour très longtemps. Lui, quand il demandera « combien avant moi » et qu’elle refusera de lui répondre, il la caressera, la torturera, lui fera entrevoir et atteindre le nirvana sans attendre sa réponse. Lui, il la traitera en reine parce qu’elle crée des symphonies en faisant de son corps à lui l’instrument de son choix, parce qu’elle lui fait monter des larmes de jouissance aux yeux. Parce qu’elle lui donne tout et ne demande rien. Il a tout planifié : dans trois ans, elle sera sa femme. Peu importe s’il a perdu ton amitié. Elle lui donne tout, toi, tu lui offres quelques bonnes soirées entre potes, des parties de FIFA et…une femme : elle. Anne O. Nyme La femme que tu courtises où du moins celle que tu aurais aimé posséder ? Je dis bien posséder et je pèse mes mots car je me sens perdue. J’aurais aimé comprendre ta version de l’amour. Dois-je me mettre à jour comme la technologie d’aujourd’hui pour arriver à la comprendre où suis-je trop obsolète à ton goût ? Vas-y ! Fais-moi comprendre…C’est tout ce que je demande.
Suis-je obligée de télécharger la version 2.0 de l’amour pour obtenir des réponses à mes questions ? Encore une fois… Fais-moi comprendre… S’il-te-plait ! Je ne demande pas la lune comme certaines femmes ! Mais… Bon Sang ! Si je te plais ou si tu ressens un peu plus que « ça »… Dis –le moi et fais-moi vibrer… Tu joues au fier et tu penses que c’est avec cet air malin que tu réussiras à m’avoir ? Détrompes-toi jeune homme ! Je ne demande pas un monde où l’on pourrait vivre...rien que tous les deux… Juste un peu d’amour ! Si tu me veux dans ta vie, dis-le-moi. Si tu ne veux plus de moi ; n’hésite pas à me le dire. Le choc sera terrible mais il ne me tuera pas... Par contre… Cette histoire de «friendlove ! » Je n’en veux pas… « Kite’m Ale ; Ou minote kè an mwen ; Ou pa menm konnen poukisa ». Tu manipules mon esprit tout simplement parce que mon cœur a eu le culot de te laisser rentrer dans ma vie. Tu fais un pas en avant en me faisant croire que je suis « celle qui te faut » puis tu recules en me disant que je suis « une très bonne amie ». J’aurais pu te rendre heureuse, on aurait pu avoir un « magical love », On aurait pu faire ces fameux « voyages en couple » ; Seychelles, Maldives et pourquoi pas la Nouvelle-Calédonie ? J’aurais même pu t’apprendre « le créole des Antilles »… On aurait pu danser « kole serrée » sur du kizomba. Enfin… On aurait bien pu être le « couple goals » de l’année car moi je suis persuadée de ce que je ressens pour toi. Mais dommage… Tu ne le sauras jamais car je ne veux plus de toi...Je ne veux plus de ce « One Way »Relationship ou Friendship ? Bref ! « Men mwen kontinye renmenw! ». Je veux juste partir et ne plus regarder derrière moi. Si ma vision de la vie ne te convient pas, je suis désolée mais je ne serai jamais en mesure de combler tes attentes… Trouves-toi une autre femme à séquestrer car moi ? J’ai jeté les menottes et je me suis enfuie… Maureen MAXI PCEP1 « Ma fierté, mon égo, mon égoïsme ont fait que la femme forte que tu représentes, soit sortie de ma vie. Et maintenant ça me hante, ça me tue, à chaque fois que je ferme les yeux car essayer de réparer cette pagaille c’est comme jouer au côté de Tom Cruise. J’aurais dû t’acheter des fleurs, te tenir la main. J’aurais dû… Te donner tout mon temps, lorsque j’en avais l’opportunité, t’emmener à toutes ces soirées auxquelles tu ne voulais que danser, avec moi… Maintenant, ma dulcinée danse, danse, danse de l’Indila… Mais, avec un autre homme ». Son amour n’est pas un bien privé et acquis. Ne pense surtout pas qu’elle sera toujours là. Ne t’attends pas à ce qu’elle continue à t’aimer, si tu ne lui tends pas la réciprocité. Elle n’est pas un rétro-éclairage, ton « I do not care at all » caractère construit sa ruine. Pourquoi lui donner une raison de s’en aller lorsque son désir le plus cher est de rester ? Pourquoi l’ignorer au moment où elle te gratifie de toute son attention? Maintenant, elle questionne ses actions, elle se sent stupide parce qu’elle aime, elle t’aime «toi». Maintenant tu représentes la raison de son insomnie. Tu lui manques, tu existes à ses yeux mais quand il faut vivre à ses yeux tu es absent…Bref… Malgré tout, elle suppose qu’elle ne se donne pas suffisamment, elle se surpasse, elle exagère. Si tu l’aimes, fais quelque chose. Si tu l’aimes vraiment, dis quelque chose. Les gestes peuvent la rassurer, les occasions d’en faire sont omniprésentes. Choisis-la ; fais d’elle une priorité, ta priorité. La rejoindre à mi-chemin, c’est tout ce qu’elle demande. Cesse de lui faire du mal. En fait, si elle compte vraiment pour toi, laisse-la partir. Elle a utilisé les puzzles de sa propre vie afin de supporter tes déficiences. A présent, elle n’a plus de ressources, elle ne mérite pas ce vide. Elle est différente, elle n’est ni comme Lara ni comme Clara encore moins comme Natacha. Fais d’elle ta reine. Ou laisse-la partir afin que quelqu’un d’autre puisse le faire ou la satisfaire. Mais, le fait est qu’elle ne veut pas partir. Elle veut juste ressentir que tu la veux, que tu tiens à sa présence, qu’elle est importante dans ta vie, que tu as envie d’elle, que tu l’aimes. Elle ne te le dira jamais, mais continuera d’espérer secrètement et patiemment que quelque chose change. Il ressentait de plus en plus son départ. Elle l’a tant aimé de cet amour si ardent : et tellement pâle, maintenant. Chaque lettre, chaque mot, chaque phrase sortant de sa bouche établissaient une nouvelle barrière, une de plus, une de trop. Et ce n’est qu’à ce moment qu’il comprit qu’il ne pouvait plus être la clé. Il ne voulait plus qu’elle parte : il avait besoin d’elle comme un cœur avait besoin de battre « but it’s too late to apologize ». Chrismy AUGUSTIN DCEM1 |
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Mars 2019
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