-« Pardonnez-moi mon père car j’ai péché .»
Je ne me suis pas confessée depuis beaucoup trop longtemps, alors, je ne vais pas être brève. Je ne le peux d’ailleurs. Je vais tout vous raconter depuis le début. Ma mère s’était remariée dans cette chapelle lorsque j’avais dix ans. Cet après-midi de décembre, j’étais triste et seule au milieu de la foule euphorique. Mon père, décédé il y a six ans me manquait plus que jamais. L’attention de ma mère venait de m’être volée par cet inconnu et tout le monde m’ordonnait de me réjouir parce que ma mère allait enfin trouver le bonheur après tant d’années de deuil. Après leur lune de miel, il a emménagé chez nous. J’avais plus droit aux câlins et aux berceuses. Je ne pouvais plus jouer avec Bobby, mon chien ; Monsieur en était allergique. Maman a tout de suite constaté mon aversion pour lui, mais elle ne voulait pas d’une famille divisée, où les enfants détestent leurs beaux parents. Elle l’a invité dans tous nos moments en tête à tête. Il n’y avait plus de sorties entre mère et fille, uniquement des journées à la maison en famille. Marcus était gentil, il voulait une fille et a tout fait pour gagner mon affection. Il m’offrait des cadeaux, nous emmenait au cinéma, m’aidait dans mes devoirs. Je ressentais de moins en moins le manque de mon père, je pouvais compter sur Marcus. J’ai appris à l’aimer. Il était devenu mon deuxième père. J’avais 12 ans, quand ils décidèrent de m’envoyer dans une pension où je devrais terminer mes études classiques. J’étais très triste de laisser ma mère, d’être séparée de ma famille pendant plusieurs mois. Elle me prit dans ses bras, me chuchota ces mots « Betty, ma chérie, ça me tue de te laisser partir, mais je le dois. Sache que je t’aime et veillerai toujours sur toi où que tu sois.>> Tous les week-ends je venais à la maison, ma mère était de plus en plus pâle. Elle me disait qu’elle était triste parce que je lui manquais, mais je pouvais voir qu’elle me cachait des choses. Quelques mois plus tard, mon père est venu m’emmener à la maison… Ma mère était morte. Je venais de perdre la personne qui m’aimait le plus au monde. Je n’avais plus personne à part mon père. J’étais encore une enfant, innocente et orpheline. Assoiffée d’amour et d’attention. Alors je me suis tournée vers lui. Je faisais tout ce qu’il me demandait. A la pension, j’étais l’élève la plus obéissante. J’étudiais beaucoup pour obtenir de bonnes notes afin qu’il soit fier de moi. Je voulais lui plaire mais il n’était jamais content. Je m’en voulais d’être aussi imparfaite et un jour, il me prit sur ses genoux et me parla en ces termes :
- « C’est bien Betty chérie, tu es encore digne mais je vais quand même te donner une fessée pour t’apprendre à ne plus me cacher quoi que ce soit. » J’ai pleuré et il m’a pris sur ses genoux, m’a caressé les cheveux et m’a murmuré à l’oreille de sa voix menaçante : «Béthanie, tu ressembles beaucoup à ta mère, belle, sauvage, dommage qu’elle soit morte, mais toi si tu m’obéis tu ne finiras pas comme elle. Tu ne veux pas mourir, n’est-ce pas chérie ? » J’ai fait non de la tête. « Bien, maintenant va dormir, demain je t’emmène acheter de nouveaux vêtements, tu commences à devenir une femme. Je n’ai pas pu fermer l’œil de la nuit. En classe, la maîtresse a remarqué que j’étais distraite et à la fin de la semaine, elle l’a mentionné à mon père. Ce soir, il est venu dans ma chambre, m’a raconté comment par ma faute, ma mère était morte, comment il a dû l’achever de ses propres mains car elle ne lui servait plus à rien. Il a promis de me ramener sur la bonne voie, m’a déshabillée, et m’a violée en guise de punition. J’ai crié que j’avais mal, il m’a répondu que ce n’était que de ma faute, qu’il ne voulait pas me punir mais que je l’y forçais. Après, Il ne m’a plus touchée, il était redevenu gentil, mais ça ne me terrifiait qu’encore plus. J’ai commencé à être agressive à la pension. Je faisais des cauchemars, mes notes ont commencé à baisser, à la fin du trimestre, je n’ai pas obtenu la moyenne. Mon père était très calme, j’ai eu froid dans le dos. Il m’a invitée à sa table, m’a parlé du sacrifice qu’il faisait afin que je ne manque de rien, bien que je n’étais pas sa fille, qu’il m’aimait, croyait en moi et combien je l’avais déçu. Je me sentais coupable, j’ai commencé à pleurer quand il m’a ordonné de me déshabiller et de grimper sur ses genoux. Il me chuchotait que je n’étais qu’une pute comme ma mère, que je ne valais rien, que je n’étais bonne qu’à écarter les jambes. Ce fut mon dernier jour à la pension. Ma maison était devenue ma propre prison et mon père, mon geôlier. Entre la lessive et l’entretien de la maison, je n’avais pas de détente et n’avais pas le droit de sortir. Quand je le désobéissais, il m’infligeait sa punition préférée. Il m’enfonçait sa queue dans la gorge, je ne pouvais pas respirer, mes poumons menaçaient d’exploser mais il n’en avait cure. Il venait dans ma chambre tous les soirs et je devais le subir toute la nuit. Cela a duré des années. À force d’être traitée comme une moins que rien, de me l’entendre dire, j’ai fini par me convaincre que je ne valais rien. Je croyais que ça ne pouvait être pire, mais je m’étais trompée. Deux ans plus tard, il perdit son boulot, il a commencé à boire. Il rentrait tard le soir, m’accusait de la mort de ma mère et de tous ses malheurs ,puis me violait avant de s’en aller. Un jour ,il m’annonça que je devrais travailler et qu’il m’avait trouvé un boulot. Le lendemain, alors que je m’apprêtais à me mettre au lit, un homme s’était introduit dans ma chambre. J’ai crié ,mais ça ne l’a pas empêché de me violer. Voilà le boulot qu’il m’avait trouvé… tous les soirs, mon père envoyait des hommes dans ma chambre. Ça ne servait à rien de me défendre, je finissais toujours par être violée. J’avais perdu mon père, ma mère, ma dignité. Le suicide était mon unique recours. Et c’est alors que je rencontrai Patrick. Il était nouveau et ne faisait pas partie du cercle d’amis de mon père. Il était différent, ne voulait pas coucher avec moi. Il était plus riche que les autres, mon père ne lui refusait rien. Il m’offrait des cadeaux, de l’argent, avait le droit de passer toute une nuit avec moi . Il me parlait de sa vie, de sa famille, de son boulot, de ses rêves et m’encourageait à lui parler de moi… Je n’avais pas grand-chose à expliquer. J’étais vieille de seize ans et je ne pouvais que pleurer mon père, ma mère et ma propre vie mais il accepta mon chagrin et me consola… Je me sentais bien avec lui, il me voyait en tant que personne et non en tant qu’un vil objet. Il avait gagné ma confiance, je lui confiais mes secrets, j’avais un ami. Un jour, il demanda à mon père , la permission de sortir avec moi et mon père accepta. La boite où il m’emmena était bondée mais j’étais heureuse. Il me présenta à ses amis, m’invita à danser et à me détendre. Je buvais mon troisième verre quand j’ai eu des vertiges, il me prit dans ses bras, me porta dans une chambre et m’allongea dans un lit… Mes membres ne me répondaient plus, je ne pouvais plus bouger. Il m’avait droguée et le pire c’est que j’étais bien consciente de ses amis qui me violaient à répétition, je pouvais le voir qui jouissait, les entendre parler et rire… il ne me ramena à la maison qu’au petit matin, meurtrie et souillée mais bien décidée à me venger. J’ai pris l’argent qu’il m’avait donné, m’acheta plusieurs de mort-aux-rats et une bouteille de rhum et j’attendis sa prochaine visite. Il avait l’habitude de prendre un verre avec mon père avant de venir me retrouver et ce jour-là, quand je leur apportai la boisson empoisonnée, ils trinquèrent à la mort. Pardonnez-moi mon père d’être impure et indigne, je le suis depuis, maintenant dix ans. Depuis qu’il a posé ses mains sur mon corps de douze ans et l’a souillé. Je suis toujours une pute, il faut bien que je mange à ma faim mais la mort de mes parents est un fardeau bien trop lourd à porter, alors pardonnez-moi de terminer ce que Marcus a commencé, permettez-moi de pécher une dernière fois.
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Je me plonge dans le puits le plus profond, Me cache du mépris et de l'injustice de ce gouvernement. L'acier de mon coeur s' intensifie à chaque fois qu'il prend un ton ironique J'éprouve un violent dépit rien qu'en pensant à la rétention de mes rêves... Derrière de beaux masques blancs, se dissimulent des visages noirs. Son intérieur est rempli de haine et de méchanceté. Il prend une fausse apparence, tout ce qui lui importe c'est le pouvoir. Ce gouvernement inhumain est prêt à tout pour gagner de l'argent Il est méchant, répugnant, sordide, il fait également preuve d'avarice. Il s'engage à la tuerie et à des luttes sanguinaires pour garder sa hiérarchie. Ma muse semble ne plus calmer ma rage et mon dégoût. Après 213 ans d'indépendance, ma plume la voix du peuple fait preuve d'activisme pour défendre le peuple haïtien, elle s' adresse à vous qui êtes insouciants. Elle réclame la liberté et le développement. "Haïti ne supporte plus d'être un pays régressant". Et elle serait prête à employer la dialectique des armes pour dénicher ce qu'elle cherche 2 Je cherche un jardinier pour mon jardin Un qui saura comment en prendre soin. Je cherche un jardinier pour mon jardin Un qui satisfera à tous ses besoins. Un jardinier pour mon beau paysage Qui lui protègera de tout sauvage, Qui pour lui, surmontera tout avec courage ; Un qui pour son jardin deviendra mage. Un qui lui évitera son trépas Une nouvelle allure il lui donnera. Un jardinier pour mon pauvre cœur Un jardinier qui fera son bonheur. Dans les moindres recoins, je l'ai cherché Mais hélas nulle part ,je l'ai trouvé. Sous un beau et vaste ciel étoilé,
D’un passé lointain et vraiment isolé, Je fus baignée par les flots de l’océan Et caressée par la douce fraîcheur du vent. J’ignorais que ma prospérité allait ressembler A un baril de poudre prêt à exploser. Je fus colonisée, exploitée et mise à mort Par les plus grandes puissances d’alors. Grâce à mes valeureux et courageux combattants, Je devins enfin un pays libre et indépendant. Mais à quoi vaut cette indépendance puisque depuis lors Mes fils ne me laissent que des remords ! Ce n’est pas le destin ou le fruit du hasard Si les pays voisins me dévisagent d’un œil hagard. J’en ai assez de mes souffrances, mes maux et mes contraintes Auprès de mes initiateurs, je m’engage à porter plainte. Je souffre, je meurs, je suis morte, je suis enterrée Par mes propres enfants qui ne m’inspirent que de la pitié. J’espère que de leurs erreurs, ils tireront des leçons En vue d’enseigner les générations qui viendront. Rodney Wilkens Chaque personne mène une vie selon leur emploi du temps. À fond dans la routine, elle contribue surtout à saisir l'importance de ce qui l’ attentionne, de ce qui lui aiguise la vie et de ce qui lui permet d'arranger tout dans le centre de son épanouissement.
Chaque jour, nous construisons un foyer de lumière. Notre responsabilité est le principal jet d'attraction. On vit dans la lumière qui illumine nos intensions et nos décisions. On vit dans la croissance de notre évolution pour avoir un comportement digne, libre et féculent. Chaque jour qui vient ou qui suit, on apprend à tout hasard, à cultiver le sens pratique de la responsabilité comme une étape majeure de la vie. Pourtant, on se concentre sur des sujets éthiques et responsables pour bâtir la vie que l'on a choisie dans une beauté de l'équilibre. La responsabilité n'est pas un jeu de mots tenant une signification propre. Mais elle est le squelette de notre corps. La membrane s'attache à tous les systèmes de nos sens organiques. Être responsable demande surtout de la visibilité, de la voyance et d'un esprit de cohérence. La responsabilité n'est pas un divertissement. Mais elle engendre à tout être qui se respecte d'avoir des opportunités remarquables. Car, à tout un chacun, la vie d'une personne responsable ne se frelate pas à ses prises de décisions véritables. Il faut être conscient de soi pour affronter certains handicaps qui sont insolites. À l'image du faire valoir, l'être responsable réalise ses engagements, sa vision par la force de son caractère, par la dynamique de sa volonté et par une aptitude concentrée sur les affaires dites proprement socio -familiales. Adoptez des manières dignes de la responsabilité s'applique surtout à faire de soi, une personne cohérente, visionnaire, ingénieuse et confortable. On est responsable puis qu'on est capable de donner à la réalité, quelle soit quotidienne où autres, un sens dominant à la vie face aux choses de la vie. Dans un tel tableau, on doit comprendre que l'être responsable conscientise les autres à devenir un citoyen plein de directives, à développer tout un système correspondant à la définition de chaque étape vitale. « Prêtez attention à la personnalité des gens et faites de votre mieux pour vous retrouver sur leur terrain. Ils apprécieront votre sensibilité et votre compréhension. » , disait John Luther dans le livre : Devenir une personne d'influence . Ainsi, on est capable de tout ressentir lorsqu'on veut gérer à bon égard les manières d'être dans la responsabilité. Nous étudions les fines particules de la vie, quelle soit sociale ou familiale et autres. Nous apprenons à nous en servir de leur importance pour bien cibler les fonctionnalités demandées. Alors, chacun se sert de ses manières d'être pour se rendre compte qu'il est capable de naviguer sur une mer houleuse. Tout ceci nous demande à être des hommes et femmes disciplinés. -Théodore Pradieu "Mr Bob" J'ai versé des larmes sur le Pont,
Malgré moi face aux affronts. J'ai couru dans les ravins Pour connaître le chemin, Auquel, la vie est une grande aventure, Qui m'excelle à vivre dans la luxure. Certainement, il faut vivre le temps, Telle soit sa nature et son temps. J'ai aimé ma vie, Dans la source du bien à l'infini. Pour ainsi apprendre la leçon Celle-ci ouvre mon intelligence d'une façon Où les étoiles m'éclairent Sous un Ciel que l'on peut tout faire. J'ai voulu partir, Loin de cet univers désuni, Pour créer qu'en mon âme Un présent sous le Palme. Dont, au cœur du silence, J'ai appris que l'existence, Naît d'une beauté, Et parfume la fraternité. Alors, écoute bien ton cœur. De là, tu rejetteras toute rancœur. -Théodore Pradieu Je me fais vieux de regarder,
Je me fais l'honneur de contempler, Du ciel de mes soucis, Mon esprit est un pli, Auquel, mon regard, Ne serait pas un hasard. Donc, « sois tu heureux » Ne s'applique pas à tes vœux. Quand l'estime est véritable, Vertueux et charitable, Les yeux du silence Éprouvent les jeux de la patience, Pour exprimer le goût de la science, Au printemps de l'intelligence. Quelle serait donc ma passion ? L'hiver, fraîche saison, M'emporte qu'à vivre La délicatesse des livres. Lire, tu seras heureux. Relire, tu seras le bienheureux. Ainsi, aux confins de la nature, Ton âme ne sera pas en pâture. Alors, tu vivras ton bien être, À l'instar de tous les êtres. Comprendre le temps, Vivre le temps, Porte tel soit l'homme À mieux connaître son gentilhomme. - Théodore Pradieu Chaque jour est un jour
D'où la nature nous emporte son amour, Pour permettre à tel soit l'homme, D'être un gentil homme. Car, il faut vivre le temps, Dans une paix aussi longtemps Illuminant notre intelligence Pour enfin explorer l'aisance de la patience. Chaque matin, on respire un doux parfum, Qui nous exalte sur un chemin Auquel, la vie s'est béatifiée. Certes, l'odeur s'est partagée, Au cœur d'une fraîche saison, Portant en elle la douceur de la floraison. Chacun est sensible à cette frange, Chacun est paisible à cette grange. Ainsi, on est tenu à cette passion, Qui se faufile aux heures de l'admiration. Alors, sensible et beau, Il n'y a pas de fardeau. - Théodore Pradieu « Parce qu’on ne peut avancer, qu’un pas à la fois »[1]
Regarder ‘‘les athlètes innés’’ me plaît beaucoup. Tout cela, car je les vois souvent facilement se casser la gueule. (Je sais, je suis méchant !) Je suis sûr que personne ne se demande combien de fois la face de bébé Bolt (Usain Bolt) a caressé mère-terre. Mais, tous s’accordent à dire que ses pieds voguent comme des ailes de faucon pèlerin. Preuve accablante du « nous nous en foutisme » des gens à l’égard de nos échecs. Gravir la montagne en rampant n’a rien de honteux ; mais la regarder d’en bas et s’énerver est la HONTE même. Avancer dans la marche, dans les études ou dans la vie a toujours été un défi. Alors je ne vois pas pourquoi ; pourquoi tu t’arrêtes de piétiner la croix de ‘manman’ et celle de papa… Il serait judicieux, audacieux, admirable que ces jeunes les piaffent, s’arrêtent et avancent… (Pose and away) Car le faire c’est bien , mais relever ce défi c’est y arriver mais ne pas s’y arrêter. Que ce défi soit ton futur proche devenu présent évolué en passé ! Tout cela pour te dire que dans la vie, il n’est pas question de beauté, de charme et d’élégance. Il est par contre question de but, de courage et de patience. Il est à noter que c’est à l’arrivée qu’on se maquille, mes cocos. Donc le charme et l’élégance sont pour plus tard. Soit dit en passant, la reponse de l’enigme est là : le titre du texte est flexible mais autour de « De quoi est-il question – Quoi Pourquoi. » Jean Saitdrei Garlens JOLICOEUR, Hivers 2018, DCEM2 [1] Inspiré de Baby Steps de Hikaru Katsuki. Dans la nuit du 26 janvier 2018, l’un des groupes musicaux de notre faculté était à l’affiche à Chicken Fiesta, un restaurant de Pétion Ville, pour une soirée « Troubadour ». Twouba medic, composé majoritairement d’étudiants de l’UNDH-FMSS nous donnait rendez-vous pour nous gratifier de leur répertoire musical dans une ambiance gastronomique.
Vers 7h15, nos musiciens ont démarré la soirée avec une interprétation du fameux groupe Mizik-Mizik, titrée <<Atizan>>. Cela commençait à mettre le public dans le bain. A noter qu’une grande partie du public était en train de lier connaissance avec le groupe, donc on a pu constater une petite séance d’observation des personnes, qui étaient très attentives aux premières notes. Les moins timides se sont levés pour danser malgré les lumières qui, on espère, seront éteintes la prochaine fois. C’était triste pour moi de constater comment les camarades de classe, ceux qui se disent « amis » ont boudé cette grande première et ne sont pas venus encourager et supporter leurs collègues. Chers étudiants, vous devriez rectifier le tir lors du prochain rendez-vous qui est pour ce 14 Février 2018 à l’occasion de la Saint- Valentin. 350 gourdes si vous venez seul et 500 gourdes si vous êtes en couple avec une boisson de votre choix offerte par le groupe. Twouba Medic a accompagné le public pendant deux heures environ avec de très beaux morceaux pour le plus grand bonheur de tous. Un dj était également sur place pour assurer la transition. L’ambiance battait son plein au point qu’un spectateur ait sollicité l’accompagnement de certains musiciens pour interpréter « Despacito », morceau qu’ils ont exécuté parfaitement. Félicitations aux musiciens, particulièrement Anderson, étudiant en 3e année et Sterlin, étudiant de 5e année de notre Alma Mater. Le public était sorti satisfait et je peux clamer haut et fort que cette grande première a été une réussite. Ne ratez surtout pas leur prochain rendez-vous parce que vous ne serez pas déçus. Bill Milome TOP des chansons “Pop” les plus impopulaires de 2017
.“The Other Side” de Alessia Cara Cette chanson présente une personne qui veut à tout prix se délaisser sa situation actuelle parce qu’elle est convaincue que de meilleurs jours l’attendent de l’autre côté. . ‘’Ciao Adios’’ de Anne-Marie Cette chanson présente une demoiselle qui dit adieu à son ex petit ami afin de se lever de table et recentrer sa vie. . ‘’Drugs’’ de August Alsina Dans cette chanson qui annonçait le grand retour du chanteur, il compare sa relation (physique) avec sa copine comme l’addiction que l’on rencontre chez certains drogués car il n’arrive pas à s’en défaire. . ‘’Trainwreck’’ de Banks Dans cette chanson, l’artiste nous présente une relation où la demoiselle essayait de changer les mauvaises habitudes du monsieur mais celui refuse d’écouter. De ce fait ,elle décide de s’en aller car ceci conduit à sa ruine. . ‘’World Gone Mad’’ de Bastille Avec une chanson suscitant une très grande polémique, Bastille fait une revue de l’année de 2017 où nous sommes mondialement divisés par les bigoteries de Donald Trump Jr ou encore Theresa May. Cette chanson est un appel au «Konbit ». . ‘’I got you’’ de Bebe Rexha Cette chanson traite d’un sujet important. Il faut se laisser aller certaines fois. Abattre le mur qui constitue votre défense, trouver quelqu’un qui vaut la peine de partager votre cœur et donner une chance à l’amour. . ‘’Rhythm inside’’ de Calum Scott Cette chanson parle de ce sentiment fort inexplicable que l’on ressent dans son for intérieur lorsqu’on est proche de la personne que l’on aime. . ‘’I have questions’’ de Camila Cabello Cette chanson présente une personne qui est fatiguée de se cacher derrière un masque et décide enfin d’affronter ses problèmes. . ‘’Cut to the feeling’’ de Carly Rae Jepsen Cette chanson présente un positivisme fort. Carly Rae nous montre à quel point on est tous important et qu’avec du travail et de la patience, on peut accomplir de grandes choses. . ‘’Quit’’ de Cashmere Cat et Ariana Grande Cette chanson traite d’un sujet assez populaire dans le quotidien. «Une personne qui en aime une autre malgré toutes les critiques de ses amis ou encore de sa famille. Elle sait qu’elle va probablement le regretter mais c’est plus fort qu’elle. » . ‘’I don’t Know Why’’ de Imagine Dragons Cette chanson parle des risques que l’on serait prêt à prendre pour le vrai amour. . ‘’Meaning of Life’’ de Kelly Clarkson La vie est parfois difficile au point où certaines personnes décident de décrocher tandis que d’autres trouvent une inspiration qui leur redonne vie comme une bien-aimée. . ‘’LOVE’’ de Kendrick Lamar et Zacari La dichotomie existant entre l'amour et le luxe a rendu perplexe tout le monde face à l’essence même de l’amour, des penseurs les plus pragmatiques aux romantiques désespérés. . ‘’Rainbow’’ de Kesha "Rainbow" est une promesse, une lettre à vous-même que les choses peuvent mieux se présenter. C'est un mantra, car à la fin d'une tempête, brondit un arc-en-ciel. . ‘’Love’’ de Lana Del Rey Cette chanson réfléchit sur la façon dont les jeunes de notre génération conservent un sentiment d'émerveillement et d'émancipation face à l'adversité, en partie à cause de l'idée romantique de l'amour et de l'affection. . ‘’Perfect Places’’ de Lorde "Perfect Places" présente un récit souvent présent lors de fêtes d'adolescents, une histoire d'usage de drogues et de sexe. . ‘’Inspired’’ de Miley Cyrus "Inspired", traite du fait que Billy Cyrus (père de Miley) représente sa plus grande inspiration et encourage aussi ses auditeurs à être de meilleures versions d'eux-mêmes en embrassant ce qui les inspire. . ‘’Everything’’ de Myriam Bryant "Everything" concerne cette scène dans une relation où l'on est prêt à tout sacrifier pour une personne, même nous-mêmes et notre propre bonheur. Bien que cela tend vers l'enfer, nous vivons par instinct et nous acceptons d’être à l’aise en enfer. . ‘’No Frauds’’ de Nicki Minaj avec la participation de Drake et Lil Wayne Bien que cette chanson rentre dans le cadre des différences entre Nicki et Remy Ma, elle présente quand même une vision profonde sur comment avec des mensonges, on peut complètement détruire une personne. . ‘’No Vancancy’’ de One Republic "No Vacancy" traite du fait de se sentir rempli de joie et édifié par la présence d’une nouvelle personne dans sa vie. . ‘’Ahead of myself’’ de X Ambassadors Elle parle de reconnaître vos fautes, tout en essayant de ne pas vous juger ou de juger les autres à partir d'elles. . ‘’Rich Love’’ de Seeb et One Republic "Rich Love" insiste sur le fait que le véritable amour est plus important que l'argent. . ‘’Broken Glass’’ de Rachel Platten Broken Glass vise à célébrer l'unité féminine et a été inspiré par des événements comme la « Women’s March » et la Journée internationale des femmes. P.S : Le Top 100 des chansons de l'année 2017 est pour bientôt. Chrismy AUGUSTIN |
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Mai 2019
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